last update : 31.12.2007

 

 

 

 

Chroniques "Figurines"

Chroniques "Unease"

Chroniques "Waited hopes"

Chroniques "X-72"

 

 

 

CHRONIQUES "FIGURINES"

ACTEURS DE L’OMBRE (LES) (webzine / janvier 2008)

Du gothic metal, du vrai, du bon. (…) Très bon album, groupe prometteur, même s’ils n’en sont pas à leur coup d’essai.

Zooffy

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LES AUTRES MONDES (webzine / avril 2008)

« Figurines » est l'œuvre du groupe, je dirais même le chef-d'œuvre! MACHINA DEUS EX réalise là un véritable coup de maître (…) Un grand BRAVO à MACHINA DEUS EX qu'il faut suivre de très près !

Velvet drap

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CROSS ROCK (webzine / mai 2008)

Ce « Figurines » arrive sans mal à dessiner une savoureuse alliance de riffs heavy, de mélodies gothiques et d’arrangements électro.

Un album dont la profondeur se fait de plus en plus palpable au fil des écoutes et ceci sans jamais chercher à trop en faire mais en restant au contraire accessible à tout un chacun.

Kakou

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D-SIDE (magazine / mars-avril 2008)

Un premier album dont les visées sont limpides : mélodies directes, hybridation des machines à un riffing oscillant entre heavy metal (« Deep coma ») et metal plus moderne tendance The Old Dead Tree (Together, dont le spleen devrait rallier à sa cause les jeunes adeptes gothiques). Machina Deus Ex joue la carte de l’efficacité. Sur ce terrain, ils se défendent. Leurs collages fonctionnent plutôt bien, renvoyant l’image d’une formation cohérente et ouverte…

Emmanuel Hennequin

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ELEGY (magazine / février-mars 2008)

Le quintette délivre 11 titres extrêmement dynamiques, où se mélangent des influences aussi diverses que Nine Inch Nails, Kill II This et Lacuna Coil (…) Une réussite.

Rose Vignat

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E-NDERGROUND (webzine / avril 2008)

Un premier album surprenant à bien des égards. A commencer par une production et des compositions léchées. L’alternance de passages atmosphériques et de riffs poids lourds typique du genre est respectée, mais les Yvelinois ne se sont pas contentés de reproduire les poncifs du genre, mais ont cherché à l’enrichir d’une dimension trip-hop en enrichissant l’album d’interludes électroniques comme le réussi Enioreh Ym. Le pari est réussi.

Vean

 

 

FRENCH METAL (webzine / mars 2008)

L’originalité du groupe repose en partie sur les différentes ambiances (mélodiques, atmosphériques, énergiques…) présentes au sein d’un même morceau que ce soit dans la composition ou dans le chant (…) le mélange est ambitieux mais fonctionne bien.

On ne voit pas passer les 57 minutes d’écoute tellement les titres se succèdent avec brio. Un très bon premier album à écouter sans modération et un groupe à ne pas perdre de vue !

Another day

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FANTASTIQUE (LE) (webzine / février 2008)

Un cocktail vraiment agréable, qui mêle puissance et mélodie, avec un réel surcroît d'âme, que l'on ressent dans les arrangements à la fois originaux et subtils (…)

On est surpris par la maturité du groupe qui possède toutes les cartes pour accéder à une réelle notoriété, tant sa musique est animée d'une vraie flamme. Une belle surprise pour ce début d'année 2008.

Denis Labbé

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FILLES ET DES RIFFS (DES) (webzine / décembre 2007)

Une musique entre metal et rock, aux sons electro recherchés, des compositions entraînantes, une grande place faite aux émotions et des passages atmo planants. Ajoutons à cela le chant angélique de Sandrine qui apporte encore plus un coté éthéré.

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HARD ROCK (magazine / avril-mai 2008)

« Figurines » évolue sans aucun temps mort, passionnant du début à la fin de ses presque 60 minutes qui s’écoulent dans une parfaite fluidité. On perçoit à travers chaque composition un travail considérable dans la mise en place du moindre détail, dans cet enchevêtrement minutieux de sons et d’ambiances.

Les années de rodage, d’entraînement scénique et de démos auront porté leurs fruits : le quintette livre un 1er album qui fait déjà preuve d’une maturité exemplaire. Enthousiasmant !

Jessica Boucher-Rétif

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HEAVY METAL MASTER (webzine / juillet 2008)

« Les compositions sont superbement construites et bien écrites, empreintes de mélancolie, de violence et d’émotions (…) Une grosse et heureuse surprise en ce milieu d’année 2008. »

Warlock

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IMM3MORIA (webzine / mars 2008)

Si « Figurines » représente la consécration pour le groupe, il est clairement une explicite démonstration de son savoir-faire, de son talent et une parfaite mise en immersion de son ambiance oppressante et palpable que les fans du genre apprécieront a sa juste valeur.

Groumphilator

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KAOSGUARDS (webzine /mars 2008)

Incorporant à leur musique diverses ambiances sombres et planantes accompagnées de synthés aériens qui transportent l’auditeur dans un autre monde fait de volupté et de beauté éthérée. (…) M.D.E est un pur produit de l’école goth française qui avait connu son heure de gloire avec le collectif « Epsilon » et qui s’est lancé  avec conviction dans ce mouvement à corps perdu.

Réussite en tous points.

Evildead

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LEPROZY(webzine / janvier 2008)

Le premier album de Machina Deus Ex est consistant et l'on n’en retire pleine satisfaction qu'avec des écoutes attentives et répétées. A savourer avec le temps…

Thrash Eliott

 

 

MAGIC FIRE MUSIC (webzine / avril 2008)

Du rêve, de l’émotion, un brin d’originalité et une « touche » française, voilà qui fait de Machina Deus Ex un groupe dont nous devons suivre la progression, car après quelques démos et ce premier album, nul doute que les Franciliens iront loin.

Monsieur K

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METALCHRONIQUES (webzine / mars 2008)

Machina Deus Ex se mêle allègrement avec une troupaille de groupes français: The Old Dead Tree, Anthemon, Silent Agony, In Terria, les regrettés Synoptia, Markize, The Last Embrace, Dying Tears.

Prenez un peu de tous, rajoutez y une vraie personnalité et une identité sonore forte. Si vous aimez la mouvance des groupes français précités, n’hésitez pas, pour les autres laissez vous porter et découvrez un groupe intéressant. Belle réussite.
 
Clayman

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METAL FRANCE (webzine / juin 2008)

Ce premier album est un concentré d’énergies positives puisant sa force dans des compositions faisant la part belle aux idées innovantes.

Pour un premier album, M.D.E. a su maîtriser son album de bout en bout, rien n’est laissé au hasard, chaque compo fait l’objet d’un rare travail précision. C’est bluffant !

Un talent indéniable ! Enthousiasmant ! Passionnant ! Les qualificatifs ne manquent pas.

Niklass

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METAL IMPACT (webzine / février 2008)

Une réelle bonne surprise.

Wong Li

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METALLAND (webzine / février 2008)

Un opus que je qualifierais de sublime, n'ayons pas peur des mots. Oeuvrant toujours dans leur métal hybride, mélange de goth et d'électro avec un duo inspiré au chant, MACHINA DEUS EX va encore plus loin dans son art et nous livre un album inspiré, tout en mélodies et passages atmosphériques.

« Figurines » est un excellent premier album qui confirme tout le bien que l'on pouvait penser du groupe qui, espérons le, aura le brillant avenir qu'il mérite.

Scribe

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METAL SICKNESS (webzine / mars 2008)

Les compos sont à la fois accrocheuses, suffisamment riches pour maintenir l’intérêt sans partir dans des digressions à n’en plus finir, et variées. Une absence de monotonie qui doit beaucoup au chant. L’alternance de voix féminine (Sandrine) et masculine (Grégory) (cette dernière étant tour à tour assez claire, agressive ou éraillée) fait la fois la force et l’originalité du combo.

Machina Deus Ex prouve encore une fois que la France regorge de groupes ayant une forte identité. Espérons que ce « Figurines » qui foisonne d’idées soit le premier album d’une longue série tout aussi inspirés. Une découverte à ne pas rater !

BEN

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MORTICIA (webzine / février 2008)

Très bon album qui apporte pas mal de fraîcheur dans le paysage musical français et qui sait tant à la fois donner la pêche et propager la mélancolie.

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MUSICAL JAM (webzine / mars 2008)

Il y a quelque chose de vital dans la musique de Machina Deus Ex. De captivant. Presque indescriptible. Dès les premières notes jusqu'aux toutes dernières, l'auditeur se retrouve plongé dans un trip émotionnel, quasi affectif, qui vient vous bouleverser dans votre propre intimité.

Ce qui impressionne chez Machina Deus Ex c’est cette habilité à passer d'un état lancinant, quasi mélancolique à un accès brutal de fièvre.

Rien de superflu, Machina Deus Ex sait parfaitement où nous mener. D'un monde à l'autre... Au final, un album ambitieux et remarquablement bien produit par un groupe attachant et fort prometteur pour les aventures à venir.

Stéphane

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NAWAK POSSE (webzine / avril 2008)

Un bon cd que l’on se réécoutera avec plaisir, de plus, la production est superbe et les compos tiennent toutes bien la route, l’on attend donc avec impatience la suite qui risque bien d’être passionnante.

Wil

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PAVILLON 666(webzine / janvier 2008)

« L’attention du détail », voilà ce qui saute aux oreilles et qui pourrait tout simplement caractériser la musique produite par Machina Deus Ex.

Il est rare en tous cas d’entendre un tel degré d’aboutissement sur un premier album et les idées foisonnent encore, à n’en point douter. On se prend ainsi à rêver en ce qui concerne le futur de ce groupe…à suivre de très près.

SYL

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POGOSLAM(webzine / mai 2008)

Un album très agréable, comportant son lot de morceaux mêlant le subtil et le nerveux, avec parfois une redoutable efficacité.

Beunz

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ROCK YOU (magazine / juin 2008)

Brassant des influences allant du trash à l’électro dark, en passant par le rock gothique ou le metal atmosphérique, le groupe parvient néanmoins à façonner un style cohérent à travers des compositions accrocheuses mais pas racoleuses. Le double chant sur le modèle « la belle et la bête », n’est pas trop appuyé et l’ambiance générale est dense et sombre à souhait. Une belle réussite, qui augure du meilleur pour l’avenir.

Christophe Lorentz

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SPIRIT OF METAL (webzine / janvier 2008)

Mettre le doigt dans « Figurines », c’est mettre le doigt dans un engrenage de plus de 55 minutes de bonheur.

Une confirmation du talent du groupe. Avec de l’expérience acquise et un Cd en béton armé Machina Deus Ex est parti pour la conquête de la planète gothique. Un seul mot BRAVO !!!!!!

Julien

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ULTRAROCK (webzine / mars 2008)

Ben voilà, il est enfin sorti, ce premier véritable bébé des MACHINA DEUS EX. Les parents sont très fiers et ont décidé d'appeler ce petit bout de chou « Figurines ».

Je tiens, dans un premier temps, à rassurer les MACHINA DEUS EX en leurs disant que c'est un beau bébé à qui ils ont donné vie. Seulement quelques jours d'existence et déjà si mature et structuré que cela ne me laisse entrevoir que de bonnes choses pour son avenir.

Les MACHINA DEUS EX étant sincère et ouvert d'esprit, je ne doute pas qu'ils poursuivront avec d'autres bambins aussi agréables.

Dave

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VERDAMNIS (webzine / février 2008)

Machina Deus Ex propose donc une musique variée, travaillée, originale aussi, au rendu irréprochable.

Sans hésitation un des "jeunes" groupes français à suivre au plus près, et pouvant se permettre d'être ambitieux, sans rougir.

Mister S.

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ZIC A ZIC (webzine / janvier 2008)

On sent que les morceaux ont été peaufinés à l’extrême et que les nombreux concerts donnés par le groupe lui ont permis d’atteindre une impressionnante maturité mais c’est en premier lieu par l’osmose totale qui se dégage de « Figurines » que Machina Deux Ex scotche l’auditeur !

La puissance du metal en trame de fond et la teinte outrageusement mélodieuse du chant parviennent à se rejoindre dans un pétillement général qui donne à l’ensemble des allures de rock… champagne ! Ca valait le coup d’attendre tout ce temps …

Fred Delforge

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ZONE X’PRESS (webzine / juin 2008)

Le premier album du groupe risque d’en surprendre plus d’un (…) Un monde où metal-électro et goth-rock s’entrechoquent avec efficacité au travers de titres tantôt dynamiques et futuristes, tantôt planants et sensuels.

Kévin

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CHRONIQUES "UNEASE"

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20 minutes (quotidien) – Février 2006 Aussi puissant que mélodique, le metal de Machina Deus Ex alterne riffs sauvages et nappes de synthé planantes. L’univers du groupe rappelle celui de Dying Tears ou The Old Dead Tree. Une alchimie réussie.

 

Accros du metal (Les) (webzine) – Avril 2005 Machina Deus Ex incorpore à sa musique diverses ambiances sombres et planantes accompagnées de synthés aériens qui transportent l’auditeur dans un autre monde fait de volupté et de beauté éthérée. (…) Réussite en tous points.

Acteurs de l’ombre (les) (webzine) – Mai 2005 Le caractère hypnoïde des compositions n’altère en rien leur densité avec une section rythmique qui reste toujours très présente et ne s’adoucit que rarement, accessibilité ne signifiant en aucune façon complaisance chez Machina deus ex dont les chansons séduisent sans se prostituer à l’autel de la facilité, ce qui n’est pas la moindre de leur qualité.

Adrenalyn (webzine) – Mai 2005 Machina Deus Ex possède de réels atouts qu'on espère voir encore mieux maîtrisés pour nous offrir un album qui pourrait être d'un effrayant charme.

Audiometal (webzine) – Avril 2005 Les six français évoluent dans ce style si caractéristique qu’est le trip metal (dixit le groupe), mélangeant sonorités rock atmosphériques et riffs typiquement metal mâtinés de teintes électros et d’une once indéniable de poésie et de mélancolie.

Les Autres Mondes (webzine) – Octobre 2006 Le concept s'avère touchant et efficace.

Chuul (webzine) - Juin 2005 Une impression très mélodique et lancinante, entrecoupée de passages plus mouvementés, comme pour sortir l’auditeur de cette mélancolie, et l’y replonger encore plus fortement.

Cryptic Madness (webzine) – Mars 2005 De véritables petits moments hors du temps.

Crypt’O Goths (magazine) - Octobre 2005 Une véritable petite perle. (…) De très belles compositions.

Darkmag (webzine) – Mars 2005 "Unease" est à la hauteur de l’ambition des membres de ce sextet des Yvelines : professionnel. (…) Une formation à suivre pour les admirateurs du genre, qui peut se hisser chez les "grands".

D-Side (magazine) – Mars/Avril 2005 Machina Deus Ex, méchant groupe de « trip metal » qui offre un redoutable crossover entre goth-métal parfois doom et séquences dark électro décavées. C’est beau, puissant, super bien produit et l’alternance chant féminin/chant masculin clair et mélodieux est originale.

Eklektik (webzine) – Juin 2005 MDE nous propose une dualité vocale bien différente de celle à laquelle on est habitué bien trop souvent. (…) Le mélange est réussi et la sauce prend tout de suite, surtout sur des morceaux aussi irrésistibles que « Last Scene » et « Misfired Treaty », soit ceux ou les grattes sont les plus heavy. (…) "Unease" est finalement un disque tripant, à la fois planant, mélodique et très accrocheur.

Elegy (magazine) – Juin 2005 Machina Deus Ex propose un cinq titres des plus efficaces grâce à une production irréprochable et des mélodies imparables. Le metal mélancolico-lyrique de ce sextet mêle l’énergie d’un Metallica, la suavité d’un Lacuna Coil et des nappes de synthé qui ne déplairaient pas aux fans d’Anathema.

E-Zic (webzine) – Avril 2005 Machina Deus Ex nous sert "Unease" qui s'avère être très professionnel tant dans l'interprétation que dans la production. Machina Deus Ex a bien digéré ses influences tout en s'en démarquant légèrement.

Fnac Champs-Elysées (coup de cœur du disquaire) – Janvier 2005 Machina Deus Ex nous offre un disque hors du commun. (…) Ne passez pas à côté de ce groupe d'une rare inventivité.

French metal (webzine) – Mars 2005 Un metal gothique vraiment bien exécuté, servi par une production très correcte. (…)"Unease" défile du premier au dernier titre tout en mélodie et en douceur, on en perd le fil et on se laisse tout simplement transporter.

Guts of darkness (webzine) – Janvier 2005 Les compos sont encore une fois très inspirées avec de réelles émotions derrière. (…) C'est aussi cela qui fait le succès de ce « 5 titres », la diversité des styles, des influences et des émotions.

Hard Rock (magazine) – Février et Mai 2005 Un gros travail d'harmonies a été effectué. (…) Si le mélange goth-indus-metal ne vous fait pas peur, Machina Deus Ex est fait pour vous.

Horde Noire (La) (webzine) – Avril 2005 Un très bon premier mini-cd qui marie diverses influences de façon surprenante au sein des morceaux, mais qui témoigne d'une personnalité évidente, ce qui n'est pas donné à toutes les formations.

Imm3moria (webzine) – Juin 2005 Deux voix qui s’associent à merveille (…). Le combo a réussi et d’une fort belle façon à apportant une nouvelle touche subtile entre un métal métissé et un rock agressif aux multiples facettes. (…) Un très bon album recommandé à un public ouvert d’esprit ou voulant découvrir une musique variée.

In Extremis (fanzine) – Mars 2005 Loin des poncifs très en vogue coté gothique et métal, Machina Deus Ex se bâtit pierre après pierre un style bien à lui quelque part entre rock burné et métal atmosphérique. (…) Cet "Unease" se révèle profondément touchant et unique.

LE CRY (webzine) – Décembre 2005 La rencontre du metal et de l’ambient.

Leprozy (webzine) - Avril 2005 Machina Deus Ex inaugure un nouveau courant, le Trip metal, mélange d'atmosphères planantes électro, de riffs plombés, et de voix mixtes claires absolument superbes. Imaginez Dave Mustaine en train de jammer avec Portishead sur des riffs d'Anathema et Paradise Lost. (…) En investissant dans "Unease ", vous participerez à l'avènement d'un futur grand.

Marock Mag (webzine) – Avril 2005 Une douceur sonore caresse vos oreilles au point de vous donner des frissons. Des nappes de clavier atmosphériques, des riffs saturés, une fusion en osmose de deux chants clairs féminin/masculin, un chant regorgeant de tristesse…une tristesse qu’on ne peut trouver que sur des Must de la scène Doom, mais là c’est pas du tout du Doom !! C’est TRIP METAL, un nouveau genre à bien retenir !

Metal Chaos (webzine) – Février 2005 Machina Deus Ex oeuvre durant ce mini CD avec tout un panel d'ambiance, tantôt très mélodique accompagné par un clavier qui mène une très bonne atmosphère, puis les guitares saturées développent un metal très bien exécuté. (...) Un excellent CD et en attendant un véritable album à la hauteur de ce MCD...

Metal Impact (webzine) – Mai 2005 Un metal atmosphérique riche en émotions et qui cache aussi la mélancolie du gothique. (…) MACHINA DEUS EX fait preuve d’un savoir-faire impressionnant qui rend les compositions impeccables de maîtrise.

Metal Fly (webzine) – Février 2005 Une démo bien exécutée et conçue ...

Metal France (webzine) – Avril 2005 Ce mini-album est un véritable concentré d'émotions. Perdue quelque part entre un metal classique et clair à la Metallica période "Black Album" et un Lacuna Coil au meilleur de sa forme, Machina Deus Ex nous invite à une danse enivrante et parfumée à laquelle vous ne pourrez résister. Les ambiances metal gothique et les mélodies complètent ce parfait met, frais et sucré.

Metalland (webzine) – Juin 2005 L'alternance voix claire féminine/ masculine et quelques parties plus rageuses masculines sont sublimes, les guitares sont puissantes et variées, les ambiances sont touchantes.

Metallian (webzine) – Avril 2005 Machina Deus Ex sait déjà de manière intuitive, créer des pièces musicales bien singulières (…). Ce mini CD est tout simplement irréprochable !

Nawak Posse (webzine) – Juillet 2006 L’efficacité du mariage d’atmosphères délicates et de riffs ravageurs (…) Une tragédie gothique en 5 actes. (…) L’univers musical a tout pour séduire les amateurs de musiques planantes et mélancoliques.

Obsküre (webzine) – Mars 2005 Machina Deus Ex tient assurément son début de carrière de main de maître. (…) Diablement intéressant et prenant, rien n’est oublié, le souci du détail est réel, preuve que Machina Deus Ex maîtrise son sujet.

Odym’etal (fanzine) – Août 2005 Une belle carte de visite qu’il conviendrait maintenant de concrétiser. Le groupe s’est, semble t-il, donné les moyens de faire un grand pas. A soutenir.

Orpheus (webzine) – Janvier 2006 Encore une belle surprise venue de notre beau pays. (…) Les fans de Lacuna Coil devrait adorer.

Part d’ombre (La) (webzine) – Janvier 2005 "Unease" pourrait se rapprocher des grecs d'On Thorns I Lay avec une puissance et une intensité, oserais-je dire encore plus développées ! (…) Machina Deus Ex mérite bien haut sa place sur le podium du gothic métal autoproduit !

Pavillion 666 (webzine) – Juillet 2005 Ce MCD arrive à se démarquer d'autres formations au style similaire, grâce notamment à un sens de la composition très riche, une volonté de bien faire et de nous offrir des titres mélodieux, à la fois dans un registre metal, mais qui est rejoint par des touches pop, goth rock... Un éclectisme bienvenu qui sert magistralement leurs compos.

Pull the chain (webzine) – Juillet 2005 It contains enough riffage and good ideas to stand out from the crowd, why not ? They sound quite fresh too and the vocal works which alternate good female lines with clean male works is one of the main band's trademark.

Scar[e] Culture (webzine) – Avril 2005 Un rythme relativement bien soutenu, une voix féminine fort agréable et des riffs assez bons (…). Ceux qui cherchent l'efficacité à tout prix seront ravis.

Spirit of Metal (webzine) – Avril 2005 Tout est fait pour vous faire vous évader. Des nappes de clavier somptueuses, une utilisation de la guitare sur certains morceaux que ne pourrait pas renier Robert Fripp. Non vraiment, le résultat est assez surprenant.

Transit Mag (magazine) – Avril 2005 "Unease " est difficilement classable, mais le terme employé par le groupe lui-même, à savoir "trip metal", me paraît être une définition adéquate. Découverte agréable tout en douceur !

Ultrarock (webzine) – Février 2005 Les deux vocalistes (chanteur et chanteuse) se partagent toujours avec autant d'efficacité le devant d'une musique toujours aussi énergique. Mais ici, pour ces cinq nouveaux titres, le tout semble mieux maîtrisé que précédemment. Les atmosphères sont plus simples, plus efficaces et plus accrocheuses.

Underground Investigation (fanzine) – Septembre 2005 MACHINA DEUS EX se révèle très envoûtant, optant pour des mélodies qui nous font tourner la tête, où la dualité des voix masculine et féminine sont autant d’appels de nymphes nous attirant dans leurs jeux sensuels voire érotiques, à l’issue fatale. (…) Une très bonne surprise.

Zic A Zic (webzine) – Février 2005 Machina Deux Ex a trouvé un style, un de ceux dont ils vont avoir du mal à se séparer tant l'équilibre entre le côté harmonique et le côté metal est parfait ! Fluidité des voix, aboutissement des harmonies, le résultat est d'une finesse extrême, mis en valeur par des compositions de très bonne facture. (…)Un énorme espoir pour les années à venir…

 

CHRONIQUES "WAITED HOPES"

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78 Tour Deux titres aux sonorités atmosphériques avec des arrangements travaillés, entre heavy metal et gothique à l'univers romantique.

 

Asaprod Machina Deus Ex est un groupe originaire des environs de Versailles. " Waited hopes " est un mini-CD contenant deux titres, et c'est en fait leur troisième démo. Ils définissent leur style comme du trip metal ! Encore une nouvelle étiquette ? En fait, c'est tout simplement du metal atmosphérique ! L'appellation leur convient peut-être mieux que gothic metal (même si leur musique comprend de nombreux éléments gothiques) parce que les influences trip-hop sont présentes, mais bon… Peu importe les étiquettes, de toute façon, le plus important est la qualité et elle est bien présente. Machina Deus Ex pratique une musique originale et intéressante. C'est assez planant, joué sur un rythme influencé par le trip-hop et à un tempo moyen. Le groupe joue sur l'alternance de chants féminins (très jolie voix) et masculins (pas mauvais mais l'accent français est trop marqué). Des samples et des effets electro sont également assez présents. Le groupe a en tout cas bien digéré toutes ses influences (même si certaines, comme Anathema, sont assez perceptibles) et propose une musique tout à fait personnelle. Les deux morceaux sont qui plus est très inspirés, accrocheurs et chargés d'émotion. En plus, le son vaut largement celui de groupes professionnels. Évidemment, deux chansons, c'est un peu court pour se faire une véritable idée de la valeur d'un groupe, mais s'ils poursuivent dans cette voie, c'est obligé qu'ils trouvent un label. C'est en tout cas plus qu'encourageant !

 

Beyond Issu du paysage musical de l'hexagone français, Machina Deus Ex nous propose ici son troisième et dernier enregistrement en date (autoproduction deux titres sortie fraîchement, en 2003). Les toutes premières notes du titre "Last Scene", jouées par des nappes électroniques sombres et nostalgiques, sont rapidement harmonisées par l'ajout de l'ensemble orchestral (guitares, basse et batterie) et lyrique (alternance et superposition de vocaux féminin/masculin). On se laisse facilement et agréablement prendre par la musique obscure et mélodique de ce sextet français… Les arrangements semblent en effet avoir été travaillés et surtout bien pensés. Distillant un Gothic Metal aux consonances atmosphériques proche d'un Paradise Lost ou d'un Anathema d'une époque lointaine et même révolue, ce "Waited Hopes" reste un pur plaisir auditif, même si l'originalité n'est pas au rendez-vous. Cependant, les quelques 10 minutes de son ne laissent présager que du meilleur pour la suite. Il reste à ce groupe le passage à une échelle supérieure, mais cela semble être programmé pour 2004. Restons à l'affût…

 

Cafzic Bon, à la base ce n'est déjà pas trop mon truc, un métal assez mélodique, ce que je définissais il y a bien longtemps comme le hard-rock, avec des parties chants très travaillées qui se laissent écouter mais un ensemble qui me laissent globalement un peu froid, je le laisse à d'autres et pourtant le son est tout de même à la hauteur. Pour les amateurs de métal aérien et fin.

 

Decibels 2 titres pour une demo c'est peu. Oui, mais quand on passe en boucle ces 2 titres de très nombreuses fois et qu'aucune lassitude n'apparaît, mieux même, qu'on se laisse happer par les mélodies de "Waited Hopes" on sait qu'on tient là un groupe qui mérite une certaine attention. MACHINA DEUS EX nous délivre un metal atmosphérique teinté de passages plus typés gothic-metal, le tout avec quelques éléments électroniques qui offrent un apport discret à l'ensemble déjà fort solide. A lire les réactions sur les 3 demos du groupe, celui-ci aurait son propre style identifiable... Je mettrais un léger bémol à cet enthousiasme généralisé car je retrouve pas mal d'éléments communs avec des groupes dit gothiques allemand, et je pense précisément à DARKSEED. Maintenant cela n'enlève rien au talent du groupe : le rapprochement avec le groupe allemand est basé entre autres sur la qualité des voix, que MACHINA DEUS EX utilise encore mieux puisque pas moins de 3 chants distincts et/ou mêlés sont de la partie et ne font que magnifier certains passages. La force du sextet des Yvelines tient non seulement dans la qualité des 2 titres de cette demo (au demeurant fort bien produite) mais aussi au potentiel de diversité musicale décelé qui laisse augurer une suite prometteuse.

 

Guts of darkness 2 nouveaux titres au programme pour les banlieusards de Machina Deus Ex. Cette démo-CD d'à peine 10 minutes représente selon moi la suite logique de la carrière du sextette. Le style n'a pas beaucoup évolué, mais il faut quand même avouer qu'ils avaient déjà trouvé leur voix et leur style propre sur la démo précédente "X-72". Au programme donc toujours du metal plutôt atmosphérique avec des sonorités légèrement indus qui donne ce qu'ils appellent eux-mêmes le "trip-metal". Les 2 titres présentés (dont 1, "Escape", était déjà disponible, dans une autre version bien entendu, sur leur toute première démo alors qu'ils s'appelaient encore Deus Ex Machina) sont bien inspirés, accrocheurs et variés. D'ailleurs, la variété et l'originalité sont d'autant plus grandes, qu'au niveau des vocaux ils s'y sont mis à 3, dont une chanteuse. On sent aussi que ces morceaux ont été travaillés au maximum avec beaucoup d'arrangements et d'ajouts d'éléments judicieux. En bref, rien n'a été laissé au hasard et cela s'entend ! De plus, la production est bien plus puissante que par le passé et la principale évolution par rapport à la précédente démo se situe selon moi au niveau de la maitrise de la musique. Le groupe est définitivement beaucoup plus pro et mature. Alors d'accord, il n'y a que 2 titres, mais mieux vaut la qualité que la quantité, et pour le coup, de la qualité, on n'en manque pas ici, avec en plus beaucoup d'orignalité ! Du très bon travail.

 

In extremis Troisième démo pour ce groupe des Yvelines où la dualité vocale féminine / masculine les démarque aisément de tout ce qui se fait actuellement en France. Suaves ambiances planantes trip-hop sur un sombre métal atmosphérique qui emprunte par touches homéopathiques à Anathema, Paradise Lost, Zeromancer avec bien sûr de temps à autres des réminiscences Sup difficilement évitables. Une démo un peu courte (2 titres pour 9 minutes) mais diablement efficace qui devrait leur être profitable dans un univers où le copier/coller règne en maître, en tout cas ça ne serait que justice. Petite préférence pour le deuxième titre "Escape" un peu plus mordant avec son feeling bien doom. Il leur reste à bosser un peu les voix pas encore irréprochables (les deux jeunes gens ne semblent pas encore assez sûrs d'eux). En tout cas, le prochain mcd devrait être produit par Alexis Phélipot (Kaizen, No Return), gros son en perspective. Et plutôt que de se coltiner des étiquettes pénibles ou farfelues, Machina Deus Ex a baptisé lui-même son style si peu commun de trip-métal. Osez le voyage !

 

La Part d'ombre Deux titres pour une durée qui avoisine les dix minutes pour cette troisième démo ! Si il est vrai que cela fait juste pour rentrer en profondeur dans le monde intemporel de MACHINA DEUS EX cette simple caresse musicale suffit pourtant à étourdir d'accroches et d'ivresses celui qui y posera l'écoute ! Ainsi interpelante, ce groupe Yvelinois qui définit sa musique comme étant du "Trip métal" (mélange de trip hop et métal énergique et mélodique) nous emmène en fait dans un métal d'apparence atmosphérique aux guitares pourtant puissantes, accrocheuses et porteuses de mélodies enivrées. C'est par cette structure de base déjà largement efficace que le groupe peaufine les contours de ses compos en utilisant une alternance de chants féminins/masculins tout deux excellents et délicats, tantôt en duo ou partagés ; criés ou planants ; et ajoute dans un élan de finition un synthé harmonieux aux touches mélodiques et atmosphériques qui peaufine d'une couche aussi présente que nuancée et légère l'identité musicale du groupe. Au résultat ces deux compos sont aussi délicates qu'accrocheuses et continuellement baladées par des rythmes variés, unis et efficaces. Ah..., dommage qu'il n'y ai que deux titres sur cette démo car à leur écoute on en veut facilement dix fois plus. En tout cas, ceci prouve une chose qui n'est pas des moindres : derrière cette musique superbe aux rythmes délicats, enlaçants et à la production sans reproche se cache un groupe qui, s'il continue sur cette voie, se hissera aisément à des niveaux supérieurs. Peut-être avec un label ! A mon avis sans doute car ces 10 minutes nous prouvent qu'ils le méritent !

 

Leprozy Le Heavy metal et le Hard rock sont très souvent, et à juste titre d'ailleurs, présentés comme un arbre dont chaque branche, chaque ramification, représenterait un courant musical particulier : death, black, doom, heavy, grind, glam, crust-noisy-post-core-white metal, … et cet arbre, d'une vigueur impressionnante, ne cesse de se développer et de produire régulièrement de nouveaux rameaux, preuve de la vivacité de la scène metal mondiale, et de ses croisements avec d'autres styles, plus ou moins proches. MACHINA DEUS EX fait assurément parti de ces rejetons, et inaugure avec son " Unease ", un nouveau courant, le Trip metal, mélange d'atmosphères planantes électro, de riffs plombés, et de voix mixtes claires absolument superbes. Imaginez Dave Mustaine en train de jammer avec PORTISHEAD sur des riffs d'ANATHEMA et PARADISE LOST ! L'image, totalement surréaliste, s'applique à merveille à l'atmosphère si particulière et unique créée par les six musiciens de MACHINA DEUS EX. Assurément un grand groupe en devenir, et en plus ce sont des français ! En investissant dans " Unease ", vous participerez à l'avènement d'un futur grand, et aurez dans les mains un produit original, garanti sans colorant. Les suiveurs sont prévenus !

 

Les acteurs de l'ombre Voici un jeune groupe yvelinois qui officie dans ce qu'ils appellent un "Trip Metal". Mais qu'est-ce-que c'est ? Vont dire certains, et surtout, de quoi se nourrit ce nouveau style ? C'est tout simple ! Après deux démos réalisées avec de faibles moyens, l'originalité du groupe est enfin mise en avant, ils vont marier les ambiances de la "Trip Hop" (plages de synthé, incursions de samples) et la puissance du Metal. Dans ce domaine, leurs influences sont : "Anathéma", "Paradise Lost", "Metallica", "Death", "Zeromancer", "Sup" ou "On thorn I Lay". Les deux porte-parole du groupe, lui et elle derrière les micros, vont faire apparaître la touche de finition de ce style qu'est le "Trip Metal". Malheureusement, ceci n'est qu'une démo de deux titres, trop brève à mon goût mais ce n'est pas grave, on est content tout de même ! "Last Scene" : un morceau qui commence par une belle nappe de synthé, le groupe part tout de suite après. L'émotion dans les deux chants est grande car deux voix claires bien agencées donnent à elles seules une dimension en plus et c'est très planant dans l'ensemble et bien appuyé quand il faut.. Une très belle façon de ressentir la musique ! Merci !! "Escape" : un début Heavy pour continuer dans la mouvance planante, la touche "Anathema" se fait entrevoir et ce côté Heavy est très bien mis en place, avec de nombreux changements de riffs aussi touchants les uns que les autres ! A quand un véritable album ? Nous sommes impatients !!

 

Marockmag Quand la fureur s'apaise en douce mélancolie, ça donne Machina Deus Ex ! Machina Deus Ex est une formation Yvelinoise, qui nous livre un petit bijou assez rare, avec cette démo deux titres, deux titres dont vous ne risquez pas de vous lasser même au bout de la 100 ème écoute. Une musique atmosphérique que le groupe nomme de Trip metal, avec une belle voix féminine, accompagnée d'un chant masculin entre clair et crié, d'où se dégage une grande tristesse, sur quelques passages on ne peut s'empêcher de penser à « Theater Of Tragedy », même s'il est difficile de comparer le groupe à toute autre formation, vu la grande originalité de leur travail !! N'empêche qu'il reste un peu difficile de se faire un avis sur le groupe à travers 2 titres de 9min40. Et pour l'info le nouveau mcd du groupe sera disponible au cours du mois d'octobre, ne le ratez surtout pas !!! (note : 8/10)

 

Metal Chroniques Deux titres à peine pour cette démo qui nous laisse un peu sur notre faim. On pourrait presque parler d'un teaser car une démo plus conséquente est prévue pour cet été 2004. Machina Deus Ex nous vient des Yvelines et nous propose donc ces deux titres qualifiés de « Trip-metal ». Le groupe entend par là un mélange de trip-hop (pour les ambiances et les samples) et de metal énergique et mélodique. On ne peut qu'adhérer à cette définition bien que, personnellement, je trouve que la musique de Machina Deus Ex reste trop énergique pour être qualifier de trip-hop. Et cela ne gâche rien à la qualité de la musique bien au contraire car il y'a une couleur goth / indus fort appétissante dans ces deux titres. Le son d'ensemble est tout à fait correct. Last scene s'impose dès la première écoute comme un potentiel single. Tout y est : ligne de chant inspirée et interprétée par la dualité chant masculin (clair dans un registre attrayant de love-metal / metal goth à la scandinave) et féminin (doux et sensuel comparable à celui de Liv Kristin), claviers bien amenés et riffs de guitare puissants et efficaces (ainsi que des interventions en clair pertinentes). Il serait bien difficile de comparer Machina Deus Ex à n'importe quelle autre formation, leur musique est à la fois envoûtante et puissante, surtout très mélodique et en conséquence fort accrocheuse. Escape est tout aussi réussi. Démarrant sur un riff endiablé aux sonorités heavy ce morceau possède les mêmes qualités que Last scene : lignes de chant accrocheuses, riffs killers qui donne une sacré envie de headbanging. Et deux titres, c'est vraiment trop court au regard de la qualité de la musique de ce sextet. La suite, vite ! ! ! !

 

Metalfly Machina Deus Ex est l'auteur de 3 démos , "Don't Look In My Soul" (2000) , "X-72" (2001) et ce "Waited Hopes" qui date de l'année dernière. En 2 titres, on se rend vite compte que ce groupe est très pro car il a un son très travaillé. A la première écoute, il m'a fait penser à Shadework et Process, deux groupes UG connus ici. Ce rapprochement est surtout dû au fait que leur métal ne déplaira pas aux gothiques et que , dans les rangs de ce sextet des Yvelines, on compte une chanteuse. Mais, cette dernière partage également le chant avec un comparse masculin ("Deus Ex", jeu de mots ;-)). Du déjà-vu dans la configuration certes, mais un peu moins dans la musique. Leurs influences avouées sont le gothic tendance électro (Zeromancer) , tendance metal (SUP, Paradise Lost, Anathema) , le trash (Metallica,Megadeth) et naturellement le "metal à chanteuse" (On Thorns I Lay, auquel je rajouterais Theatre Of Tragedy). Les deux morceaux sont assez différents et montrent l'étendue des capacités du combo. "Last Scene" est leur face calme. Il débute par un plan de 6 notes au clavier qui reviendra tout du long du morceau. "Escape" , la compo suivante, était déjà sur leur toute première démo mais dans une autre version. Elle est plus pêchue. Bref , les arrangements sont généralement bons même si on note quelques approximations (notamment au niveau de la superposition des voix masculines et féminines). Le genre de détail qui peut faire mal pour une formation de ce style mais qui est aisément corrigé dans un gros studio. En effet , il leur manque juste une structure plus conséquente pour évoluer et accumuler de l'expérience (notamment scénique) . Si on leur en donne les moyens, il est certain que ce groupe peut évoluer vers une notoriété certaine. Et le premier pas vers celle-ci sera sans doute leur album qui est en cours de préparation. 

 

Obsküre Machina Deus Ex est un jeune groupe yvelinois, qui qualifie le style dans lequel il évolue de trip métal, soit un mélange de trip hop et de métal. On ne va pas le contredire, mais il convient de noter que les éléments « trip hop » se ressentent uniquement très légèrement au niveau de certaines atmosphères composées de plages de synthés et de samples ; rien au niveau du rythme, ne rappelle le genre en question. Peu importe l'appellation, la musique de Machina Deus Ex est, en effet, atmosphérique. Les ambiances des deux titres de « Waited hopes », leur seconde démo, rappellent d'ailleurs parfois Theatre Of Tragedy époque « Velvet Darkness They Fear » ou « Musique ». Le groupe concilie énergie et douceur, en alternant passages heavy et passages atmosphériques, et en jouant sur trois types de voix différents : un chant masculin tantôt clair, tantôt crié et une voix féminine. Malgré la production assez faible, on se laisse prendre par les mélodies accrocheuses de ces deux titres et notamment par le désespoir expiré par les deux voix claires sur « Last scene ». Avec le second morceau le rythme s'accélère et le son se durcit, mais les mélodies résistent, incisives et spleeniennes. S'il est difficile de donner un véritable jugement sur seulement deux titres, on peut tout de même concéder à Machina Deus Ex, si ce n'est une grande originalité, tout de même une personnalité marquée. Pour info, le groupe va enfin enregistrer son premier mini-album courant 2004, à suivre donc…

 

Ody'metal Troisième démo pour ce groupe et seulement deux titres, de quoi rester sur sa faim. Le groupe semble gérer sa montée en puissance et rassemble tranquillement toutes les bonnes choses pour offrir au bon moment, le meilleur de lui même. « Last Scene » figurera sur le prochain mini Cd. On notera l'intro, claviers et guitares, selon la même trame que NOSTRADAMEUS sur le titre « Far too Strong ».La voix masculine plaintive ou agressive et la voix féminine envoûtante sont habilement combinées. Le groupe a rendu les passages musicaux lourds et puissants, faisant une belle transition avec le reste plus prog et atmo. « Escape » qui vient de la première démo a été retravaillé. Bons riffs d'entrée avec un chant à deux qui fait penser à MORDIGGAN sur les passages rythmés. Une ambiance rappelant AKIN ressort pour les passages plus intimistes. Voilà une belle approche avec un côté mélodique indéniable sur une base instrumentale bien aguerrie. Pas facile de classer ce groupe audacieux. « Prog Metal Mélodique et Atmo » pourrait peut-être convenir. On attend le prochain Cd qui sera décortiqué, c'est certain, le groupe est attendu. Même dans ce cas, surtout pas de pression supplémentaire, faites ce que vous savez faire et aussi bien que ces deux titres et ce sera gagné. On compte sur vous.

 

Pull the chain Two songs promo and not something that simple to label (unfortunately as it would make my job a lot easier…). I already reviewed Machina Deus Ex's previous studio work titled «X-72». If I remember well, this french act covered a Daniel Balavoine unbearable song (lucky english speaking readers, you surely didn't know this french singer). The music portrayed here isn't that aggressive, quite slow in pace and atmosphere, with male and female whispered (good) vocal sections. The first track «Last Scene» is for my opinion the most exciting one, perhaps a bit of Paradise Lost («True Belief» -Icon period) with an almost emo core vocal work: melancholy and emotional. Nothing moshable here and nothing really groundbreaking but there is certain classicism present in Machina Deus ex music.

 

Sons of Wotan Parlons du groupe. Machina Deus Ex, soit 6 jeunes yvelinois, et 3 démos, dont vous lisez la chronique de la dernière, qui s'intitule Waited Hopes. Elle ne comporte malheureusement que deux titres, Last Scene et Escape . Un ou deux de plus auraient été les bienvenus. Je vais d'abord parler un peu de la musique. Machina Deus Ex est très sombre, assez atmosphérique. Les deux chants féminins et masculins se complètent assez bien, les mélodies sont bien trouvées. Au niveau des influences, on entend surtout Anathema. La première chanson, Last Scene , malgré de bonnes idées, n'arrive pas à convaincre, car trop répétitive. Par contre, Escape, est beaucoup plus intéressante : Une intro bien sympathique, le chant bien placé, des riffs sympa, bref, je ne m'avancerai pas trop à dire que c'est le pied. Au niveau de la production, y a du bon comme du mauvais. Bon car très agréable à écouter, pas trop gras, bref ça correspond bien avec la musique. Seul bémol, une certaine platitude se fait ressentir ; Aucun instrument n'est mis en avant particulièrement, le clavier est même plutôt en retrait, la batterie pas assez résonnante. Je pense avoir tout dit. Au final, un bon petit groupe, avec du potentiel. Une chose est sûre, c'est qu'on les attend au tournant.

 

Violent Solutions Difficile de se faire un véritable avis sur la qualité d'un groupe avec un CD contenant seulement deux titres. Machina Deus Ex nous vient des Yvelines et nous présente ici sa troisième démo après "Don't look in my soul" et "X-72". MDE est composé de 6 membres (dont un vocaliste de chaque sexe) et on navigue ici dans un métal aux accents gothiques assez mélancolique. La bio parle de "trip metal" sous prétexte d'un mélange entre trip-hop et metal. Je ne reviendrai pas dessus car cette définition n'est pas vraiment de bon aloi, l'esprit du trip-hop étant à mille lieux de ce qui est présenté ici. C'est du métal mélodique, avec des plages de synthés qui peut faire penser à Mondprojekt ou alors éventuellement à du Katatonia, en particulier pour l'aspect lancinant de "Escape". Ce titre est d'ailleurs le plus intéressant des deux car l'autre, "Last scene" n'est pas vraiment débordant d'originalité et plutôt mal desservi niveau vocalises. Ces dernières ne sont pas mauvaises mais les vocaux masculins ont souvent du mal à s'allier correctement avec les vocaux féminins, un peu comme si il y avait eu un manque de concertation avant l'enregistrement. Leur mixage assez en avant est aussi responsable de cet état de fait. Le travail de guitares est par contre très correct et on a pas mal de plaisir à entendre les bonnes lignes mélodiques qui émaillent cette démo. D'ailleurs, MDE est assez doué pour pondre des bonnes mélodies et la tristesse palpable à chaque instant, la bonne assise rythmique, la production agréable et les arrangements de synthés corrects en font un groupe à suivre. La question des vocaux encore un peu hésitants, en particulier les féminins, restera à régler mais j'ai déjà entendu bien pire dans le style. Pas mal.

 

Zicazic Machina Deus Ex revient sur le devant de la scène avec cette troisième démo qui laisse entrevoir les énormes progrès réalisés depuis leurs deux premiers essais. Si le contenant est un peu faiblard puisqu'on n'y retrouve que deux bref titres, le contenu est de haute volée ! Fort d'une quinzaine de concerts mais surtout d'un line-up qui tend à se stabiliser, Sandrine, Grégory, Michaël, Yann, Arnaud et Xavier lâchent leurs dernières banderilles et partent bille en tête à la recherche d'une maison de disques et d'un tourneur digne de ce nom avec pour objectif, l'enregistrement de leur premier album en 2004 mais également de nombreux concerts à la clé. Si « X-72 » pêchait par un manque évident de puissance, « Waited hopes » a réussi à résoudre le problème et affiche une production tout à fait convenable. Difficile de se faire une idée sur seulement deux titres mais on constate que le groupe a encore évolué sur le plan de la composition et que les références illustres sont en bonne voie d'assimilation. Les relents de Maiden, Anathema ou Paradise Lost se font encore partiellement sentir mais on note une véritable envie de s'en démarquer. Diamétralement opposés, les deux morceaux proposés sont une bonne façon d'appréhender la diversité et les multiples talents du sextet Yvelinois et même s'il y a encore du travail à fournir sur les arrangements, le potentiel est bel et bien là… C'est encourageant !

 

CHRONIQUES "X-72"

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Hard Rock Magazine n°74 "Machina Deus Ex nous propose un Metal soft aux ambiances travaillées, résolument plus axé sur les atmosphères que sur l'énergie, même si, de temps à autre, tout part en vrille sur un tempo à 240. Très originale, la musique de Machina Deus Ex l'était tout autant sur la première démo du groupe, "Don't Look In My Soul", parue en 1998. Seule la production est à revoir, les guitares laissant entendre un son de moustique et les autres instruments n'étant pas génialement mixés. Un petit effort, les gars !"

 

Elegy n°18 "Machina Deus Ex nous présente sa nouvelle démo 5 titres, X-72, production intéressante, la musique de ce groupe originaire des Yvelines se qualifie de "Trip Metal", avec comme influences avouées Paradise Lost, Anathema, Sup ou encore Zeromancer et Metallica. Etrange mélange au premier abord mais, finalement on se laisse séduire par ces ambiances tour à tour atmosphériques et brutales."

 

Guts Of Darkness "Cette démo est plutôt particulière. Le mélange entre de l'indus assez calme et du metal atmosphérique est saisissant. Le rendu est vraiment très bon et les compos sont recherchées tout en gardant chacune un fil directeur. Les vocaux sont également très travaillés et diversifiés, alternant des passages aggressifs et plus calmes, le tout agrémenté de chant féminin. Les 4 morceaux sont tous très différents et pourtant, on sent bien qu'ils ont été écrits dans le même état d'esprit. Franchement, je suis bluffé par la qualité de ce CD 4 titres ! Le style est vraiment très original et le tout tient bien la route. Impressionnant pour un groupe underground !"

 

Metal Extreme "Quel curieux mélange nous propose là ce groupe non moins curieusement nommé "Machina deus ex" (à prononcer d'une traite)! Dark atmo? Néo heavy? Inutile de chercher, ils nous disent faire du "trip métal"... on est bien avancé. Bon quoi qu'il en soit même si l'on reste perplexe devant la diversité des ambiances d'un titre à l'autre, on est bien en présence de trois excellentes chansons! Le son est nickel, les compos tournent parfaitement, en bref tout cela est très pro et les auteurs ont indubitablement un solide bagage de musiciens. On est impatient de voir sur une plus longue durée (un album par exemple?) de quoi il retourne plus exactement, et dans quel camp joue "Machina deus ex"... peut-être tout simplement celui de la créativité la plus débridée?"

 

Artefact "Organique, electro indus, les adjectifs ne manquent pas pour cibler MACHINA DEUS EX, le plus difficile est d'identifier la musique qui part dans tous les sens. La production datant d'une bonne année est peu soignée mais les ambiances sont là: les voix claires, mélodiques, death, harmoniques se chevauchent et donnent une âme à la machine. Les riffs saturés sur une nappe de synthés révèlent une expression originale et personnelle à l'oeuvre. Une reprise inattendue de feu de Daniel Balavoine est même présentée et nous montre un visage différent du Metal que l'on avait pu entendre sur le reste de l'album.
R'Lyeh

 

Erreur de la Nature "On commence par deux minutes de bonheur! Un synthé nous distille une ambiance psychédélique à souhait. Ensuite la saturation fait son entrée et ne vous lâchera plus... Des morceaux taillés dans le roc! Les influences majeures ici sont Metallica avec de très bons riffs, une voix envoûtante et les ambiances gothiques de Paradise Lost. Une ballade magnifique nous montre l'étendue des ressources des 7 membres du groupe. A noter la présence d'un titre caché qui vaut vraiment son pesant d'or et dont je ne vous dirai absolument rien, histoire que vous puissiez aller tranquillement sur leur site et prendre contact."

 

Dark Mag "Originaire des Yvelines, Machina Deus Ex nous propose, avec X-72, sa seconde démo composée de quatre titres. Cataloguer le style du groupe se révèle être une tâche périlleuse tant les cinq membres de cette formation explorent à travers cette démo des territoires musicaux très diversifiés. Ils affirment néanmoins jouer du « trip metal ». En tous cas, le résultat se montre original et convaincant : les trois vrais titres présents sonnent assez différemment et développent des atmosphères bien distinctes. Après une courte introduction, les premières notes de X-72 Part II se font entendre : sur un rythme relativement lent, les guitares assez lourdes, soutenues par des nappes de claviers, instaurent un climat mélancolique. Le second titre, Laconi, le plus énergique de la démo, est dominé par des guitares plus agressives et un tempo plus relevé, tandis que les claviers se font plus discrets. Les vocaux clairs quant à eux évoquent The Dark Missionary de The Old Dead Tree. Enfin, The Feeling Of Clouds marque le retour à une ambiance plus feutrée, notamment grâce à l'apport de guitares très mélodiques et l'ambiance générale du morceau se rapprocherait assez d'un Katatonia en plus épuré.
Le niveau technique des musiciens de Machina Deus Ex paraît, à l'écoute de ce X-72, très bon et pour une démo, la production restitue bien les émotions à fleur de peau qui émanent des compositions. Le groupe semble posséder tous les atouts pour affiner encore son metal mélodique et atmosphérique et l'on est curieux d'écouter ce qu'il nous réservera pour l'avenir."

 

Leprozy "Passée l'intro electro-futuriste, La machine à deux sexes (prononcez le nom du groupe rapidement vous verrez), embraie sur un Metal proche à la fois de Metallica (le son et la voix) et d'Anathema (pour les parties plus calmes). Le synthé est très présent (pas désagréable pour autant) mais malheureusement les guitares sonnent un peu plates à côté, ce qui enlève pas mal de pêche aux morceaux. Les mélodies sont bien trouvées... Des petits détails à corriger en fait rien de grave (le chant en anglais à travailler par exemple, le son des grattes). On attend la suite...".

 

O³ Zine "Oser prétendre être influencé aussi bien par SUP que par Daniel Balavoine, le Keufran s'en lèche le calbut façon grand écart qui ment méchant. Alors forcément, MACHINA DEUS EX m'a titillé le bas du ventre, à un tel point que les tentatives de rut du Scalp autour de mon corps en sueur me laissèrent de pizza (ben ouais j'ai envie de pizza et pas de glace, et je vous dis plein de mots pas bô si çà vous plaît pas). Et même si la première écoute est un peu crue du fait de la production "bout de ficelles", on sent d'entréé les capacités du groupe à innover dans un genre devenu bien rigide. MACHINA DEUS EX nous montre en cinq morceaux qu'il peut prétendre à une place au soleil pour peu qu'il s'en donne un peu plus les moyens. Mais aussi et surtout qu'il impose sa patte avec encore plus de conviction; ce premier jet étant tout de même symptomatique d'un groupe qui se cherche encore." Keufran

"Avec un nom pareil (lisez d'un trait...), je ne peux que me porter garant de ce groupe! Trêve de plaisanterie, MACHINA DEUS EX m'intrigue. A la première écoute, on a l'impression que les musiciens cherchent leur voie tant les styles varient selon les morceaux. Mais après avoir repassé le CD en mode "repeat" sur ma platine, je me dis que vu le sérieux avec lequel ils s'attaquent à ces différents styles, la voilà peut-être leur voie! Enfin des gens 'ouverts" qui ne se laissent pas enterrer par le marasme environnant. Alors qu'il serait si simplede se rallier les fans d'un genre bien défini, MACHINA DEUS EX préfère avant tout se faire plaisir (j'en veux pour exemple la sublime reprise de Daniel Balavoine, Vivre ou survivre ) en ne se limitant pas dans ses compos, qui sont réussies de surcroît! Espérons qu'ils continuent dans cette voie car il serait dommage de perdre cette spécificité!"
Scalp

 

Ody'metal "Ce groupe de 7 membres des Yvelines délivre une musique intéressante à plusieurs niveaux. Des ambiances pesantes empreintes de mélancolie côtoient des envolées plus heavy et agressives, qui naviguent au milieu des changements de rythmes totalement maîtrisés. Les différentes tonalités dans la voie masculine, tantôt plaintive tantôt agressive, et la voix féminine amplifient la personnalité des compositions qui devraient prendre une toute autre dimension avec un mixage différent et adapté à la qualité technique des musiciens. Et puis il y a un titre supplémentaire caché qui a toute une histoire."
Jean-Marie

 

Zicazic "Machina Deus Ex tire sur tout ce qui bouge ! Pas de style bien défini, si ce n'est le trip metal qu'ils revendiquent, mais une multitude d'ambiances et d'atmosphères mises bout à bout pour cette deuxième démo sur laquelle officient Yann Hubert et Sandrine Rubio au chant, Yann Nédelec à la basse, Arnaud Boisbouvier à la guitare, Michaël Moron à la guitare et au synthé et pour finir Grégory Mebarki à la batterie et au chant. Notez au passage que Yann Hubert a été depuis remplacé au chant par Grégory Mebarki qui a lui-même laissé sa place derrière les fûts à Xavier Malleret … Au rayon nouveautés, on signale également l'arrivée de Karine au violon ! Vous n'arrivez pas à vous y retrouver ? Ce n'est pas bien grave, ce qui importe le plus c'est que toute cette jolie équipe soit techniquement au point !
Mauvaise surprise, le son est vraiment faiblard ! Bon, on met la sauce et on recommence … Ca va mieux avec les potards à 10 et on attaque avec " X-72 part. 1 ", un instrumental de deux minutes à base de rythmes tribaux ! Grand Sachem allumer calumet avant envoyer purée … Chose logique, " X-72 part. 2 " nous arrive, entamant une transition vers des gros riffs et des grosses voix très influencées par Metallica. Par moments, on croirait vraiment que l'ami Hetfield est passé par-là pour poser sa griffe … On passe à la vitesse supérieure avec le très speedé " Laconi " qui ravira les amateurs du genre. Seul petit reproche concernant le chant en anglais qui est vraiment à revoir sur ce coup-là … " The feeling of clouds ", ballade metal à fort potentiel, nous permet de calmer un peu le jeu. La suite est originale : la reprise de " Vivre ou survivre " de Balavoine à la sauce Machina Deus Ex. On ne peut pas parler d'inédit car Fou, groupe helvétique ayant ouvert pour Trust sur quelques dates en 1997 avait déjà fait cette cover en version dynamitée mais on ne peut que se réjouir du résultat qui est très concluant ! On termine par " 3061 ", un instrumental technoïde qui dénote pas mal avec le reste ! Mais bon, on ne va pas reprocher aux groupes de tenter des innovations … Bon groupe, à revoir avec un vrai album et surtout, mais alors surtout avec une production et un mixage à la hauteur de son talent !"

 

Acteurs de l'ombre Ce groupe de la région des Yvelines est né en 1996, et évolue dans un style ouvert et assez original, puisqu'ils ont pour influences Metallica, Sup ou Paradise Lost, mais s'en 'prennent' également au regretté Daniel Balavoine, dans un remix du titre ' vivre ou survivre' qui me fait penser un peu à un générique d'un dessin animé, style Goldorak& .mais on se laisse aller, et finalement, l'essai est plutôt amusant . Batterie électronique, guitares assez stridentes (trop ?), voix claire ou dark entrecoupée d'une très belle voix féminine, le tout est relativement sombre, avec des ambiances mi-machines, mi-atmosphériques. La production est assez moyenne, cela étant sûrement dû à l'enregistrement de cette démo avec un home studio& Néanmoins, nous pouvons percevoir un esprit de grande créativité et d'une originalité indéniable, des compos très intéressantes, il faudra alors patienter jusqu'à l'album pour se rendre compte de tout leur potentiel.

 

Balkanik Au design, on croirait être tombé sur de l'indus, impression d'ailleurs confirmée par le premier titre. Mais on s'aperçoit vite qu'on fait fausse route. Machina Deus Ex pratique en fait un métal très aventureux, quelque part entre le thrash de Testament et Tiamat. Des rythmiques bétonnées et des arrangements très travaillés assurent donc l'intérêt de cette démo pleine de promesses pour le futur, et qui place Machina Deus Ex dans le peloton des formations à suivre. Mais il faudrait vraiment en mettre un coup sur le chant (l'accent surtout), même si leur chanteur a au moins le grand mérite d'être plus ambitieux que la moyenne. Un groupe qui fait, quoi qu'il en soit, montre d'une personnalité déjà impressionnante pour une deuxième démo.

 

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