Chroniques
"Figurines"
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"Unease"
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"Waited hopes"
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"X-72"
CHRONIQUES "FIGURINES"
ACTEURS DE L’OMBRE (LES) (webzine / janvier 2008)
Du gothic metal, du vrai, du bon. (…) Très bon album, groupe prometteur, même s’ils n’en sont pas à leur coup d’essai.
Zooffy
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LES AUTRES MONDES (webzine / avril 2008)
« Figurines » est l'œuvre du groupe, je dirais même le chef-d'œuvre! MACHINA DEUS EX réalise là un véritable coup de maître (…) Un grand BRAVO à MACHINA DEUS EX qu'il faut suivre de très près !
Velvet drap
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CROSS ROCK (webzine / mai 2008)
Ce « Figurines » arrive sans mal à dessiner une savoureuse alliance de riffs heavy, de mélodies gothiques et d’arrangements électro.
Un album dont la profondeur se fait de plus en plus palpable au fil des écoutes et ceci sans jamais chercher à trop en faire mais en restant au contraire accessible à tout un chacun.
Kakou
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D-SIDE (magazine / mars-avril 2008)
Un premier album dont les visées sont limpides : mélodies directes, hybridation des machines à un riffing oscillant entre heavy metal (« Deep coma ») et metal plus moderne tendance The Old Dead Tree (Together, dont le spleen devrait rallier à sa cause les jeunes adeptes gothiques). Machina Deus Ex joue la carte de l’efficacité. Sur ce terrain, ils se défendent. Leurs collages fonctionnent plutôt bien, renvoyant l’image d’une formation cohérente et ouverte…
Emmanuel Hennequin
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ELEGY (magazine / février-mars 2008)
Le quintette délivre 11 titres extrêmement dynamiques, où se mélangent des influences aussi diverses que Nine Inch Nails, Kill II This et Lacuna Coil (…) Une réussite.
Rose Vignat
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E-NDERGROUND (webzine / avril 2008)
Un premier album surprenant à bien des égards. A commencer par une production et des compositions léchées. L’alternance de passages atmosphériques et de riffs poids lourds typique du genre est respectée, mais les Yvelinois ne se sont pas contentés de reproduire les poncifs du genre, mais ont cherché à l’enrichir d’une dimension trip-hop en enrichissant l’album d’interludes électroniques comme le réussi Enioreh Ym. Le pari est réussi.
Vean
FRENCH METAL (webzine / mars 2008)
L’originalité du groupe repose en partie sur les différentes ambiances (mélodiques, atmosphériques, énergiques…) présentes au sein d’un même morceau que ce soit dans la composition ou dans le chant (…) le mélange est ambitieux mais fonctionne bien.
On ne voit pas passer les 57 minutes d’écoute tellement les titres se succèdent avec brio. Un très bon premier album à écouter sans modération et un groupe à ne pas perdre de vue !
Another day
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FANTASTIQUE (LE) (webzine / février 2008)
Un cocktail vraiment agréable, qui mêle puissance et mélodie, avec un réel surcroît d'âme, que l'on ressent dans les arrangements à la fois originaux et subtils (…)
On est surpris par la maturité du groupe qui possède toutes les cartes pour accéder à une réelle notoriété, tant sa musique est animée d'une vraie flamme. Une belle surprise pour ce début d'année 2008.
Denis Labbé
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FILLES ET DES RIFFS (DES) (webzine / décembre 2007)
Une musique entre metal et rock, aux sons electro recherchés, des compositions entraînantes, une grande place faite aux émotions et des passages atmo planants. Ajoutons à cela le chant angélique de Sandrine qui apporte encore plus un coté éthéré.
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HARD ROCK (magazine / avril-mai 2008)
« Figurines » évolue sans aucun temps mort, passionnant du début à la fin de ses presque 60 minutes qui s’écoulent dans une parfaite fluidité. On perçoit à travers chaque composition un travail considérable dans la mise en place du moindre détail, dans cet enchevêtrement minutieux de sons et d’ambiances.
Les années de rodage, d’entraînement scénique et de démos auront porté leurs fruits : le quintette livre un 1er album qui fait déjà preuve d’une maturité exemplaire. Enthousiasmant !
Jessica Boucher-Rétif
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HEAVY METAL MASTER (webzine / juillet 2008)
« Les compositions sont superbement construites et bien écrites, empreintes de mélancolie, de violence et d’émotions (…) Une grosse et heureuse surprise en ce milieu d’année 2008. »
Warlock
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IMM3MORIA (webzine / mars 2008)
Si « Figurines » représente la consécration pour le groupe, il est clairement une explicite démonstration de son savoir-faire, de son talent et une parfaite mise en immersion de son ambiance oppressante et palpable que les fans du genre apprécieront a sa juste valeur.
Groumphilator
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KAOSGUARDS (webzine /mars 2008)
Incorporant à leur musique diverses ambiances sombres et planantes accompagnées de synthés aériens qui transportent l’auditeur dans un autre monde fait de volupté et de beauté éthérée. (…) M.D.E est un pur produit de l’école goth française qui avait connu son heure de gloire avec le collectif « Epsilon » et qui s’est lancé avec conviction dans ce mouvement à corps perdu.
Réussite en tous points.
Evildead
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LEPROZY(webzine / janvier 2008)
Le premier album de Machina Deus Ex est consistant et l'on n’en retire pleine satisfaction qu'avec des écoutes attentives et répétées. A savourer avec le temps…
Thrash Eliott
MAGIC FIRE MUSIC (webzine / avril 2008)
Du rêve, de l’émotion, un brin d’originalité et une « touche » française, voilà qui fait de Machina Deus Ex un groupe dont nous devons suivre la progression, car après quelques démos et ce premier album, nul doute que les Franciliens iront loin.
Monsieur K
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METALCHRONIQUES (webzine / mars 2008)
Machina Deus Ex se mêle allègrement avec une troupaille de groupes français: The Old Dead Tree, Anthemon, Silent Agony, In Terria, les regrettés Synoptia, Markize, The Last Embrace, Dying Tears.
Prenez un peu de tous, rajoutez y une vraie personnalité et une identité sonore forte. Si vous aimez la mouvance des groupes français précités, n’hésitez pas, pour les autres laissez vous porter et découvrez un groupe intéressant. Belle réussite.
Clayman
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METAL FRANCE (webzine / juin 2008)
Ce premier album est un concentré d’énergies positives puisant sa force dans des compositions faisant la part belle aux idées innovantes.
Pour un premier album, M.D.E. a su maîtriser son album de bout en bout, rien n’est laissé au hasard, chaque compo fait l’objet d’un rare travail précision. C’est bluffant !
Un talent indéniable ! Enthousiasmant ! Passionnant ! Les qualificatifs ne manquent pas.
Niklass
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METAL IMPACT (webzine / février 2008)
Une réelle bonne surprise.
Wong Li
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METALLAND (webzine / février 2008)
Un opus que je qualifierais de sublime, n'ayons pas peur des mots. Oeuvrant toujours dans leur métal hybride, mélange de goth et d'électro avec un duo inspiré au chant, MACHINA DEUS EX va encore plus loin dans son art et nous livre un album inspiré, tout en mélodies et passages atmosphériques.
« Figurines » est un excellent premier album qui confirme tout le bien que l'on pouvait penser du groupe qui, espérons le, aura le brillant avenir qu'il mérite.
Scribe
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METAL SICKNESS (webzine / mars 2008)
Les compos sont à la fois accrocheuses, suffisamment riches pour maintenir l’intérêt sans partir dans des digressions à n’en plus finir, et variées. Une absence de monotonie qui doit beaucoup au chant. L’alternance de voix féminine (Sandrine) et masculine (Grégory) (cette dernière étant tour à tour assez claire, agressive ou éraillée) fait la fois la force et l’originalité du combo.
Machina Deus Ex prouve encore une fois que la France regorge de groupes ayant une forte identité. Espérons que ce « Figurines » qui foisonne d’idées soit le premier album d’une longue série tout aussi inspirés. Une découverte à ne pas rater !
BEN
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MORTICIA (webzine / février 2008)
Très bon album qui apporte pas mal de fraîcheur dans le paysage musical français et qui sait tant à la fois donner la pêche et propager la mélancolie.
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MUSICAL JAM (webzine / mars 2008)
Il y a quelque chose de vital dans la musique de Machina Deus Ex. De captivant. Presque indescriptible. Dès les premières notes jusqu'aux toutes dernières, l'auditeur se retrouve plongé dans un trip émotionnel, quasi affectif, qui vient vous bouleverser dans votre propre intimité.
Ce qui impressionne chez Machina Deus Ex c’est cette habilité à passer d'un état lancinant, quasi mélancolique à un accès brutal de fièvre.
Rien de superflu, Machina Deus Ex sait parfaitement où nous mener. D'un monde à l'autre... Au final, un album ambitieux et remarquablement bien produit par un groupe attachant et fort prometteur pour les aventures à venir.
Stéphane
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NAWAK POSSE (webzine / avril 2008)
Un bon cd que l’on se réécoutera avec plaisir, de plus, la production est superbe et les compos tiennent toutes bien la route, l’on attend donc avec impatience la suite qui risque bien d’être passionnante.
Wil
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PAVILLON 666(webzine / janvier 2008)
« L’attention du détail », voilà ce qui saute aux oreilles et qui pourrait tout simplement caractériser la musique produite par Machina Deus Ex.
Il est rare en tous cas d’entendre un tel degré d’aboutissement sur un premier album et les idées foisonnent encore, à n’en point douter. On se prend ainsi à rêver en ce qui concerne le futur de ce groupe…à suivre de très près.
SYL
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POGOSLAM(webzine / mai 2008)
Un album très agréable, comportant son lot de morceaux mêlant le subtil et le nerveux, avec parfois une redoutable efficacité.
Beunz
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ROCK YOU (magazine / juin 2008)
Brassant des influences allant du trash à l’électro dark, en passant par le rock gothique ou le metal atmosphérique, le groupe parvient néanmoins à façonner un style cohérent à travers des compositions accrocheuses mais pas racoleuses. Le double chant sur le modèle « la belle et la bête », n’est pas trop appuyé et l’ambiance générale est dense et sombre à souhait. Une belle réussite, qui augure du meilleur pour l’avenir.
Christophe Lorentz
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SPIRIT OF METAL (webzine / janvier 2008)
Mettre le doigt dans « Figurines », c’est mettre le doigt dans un engrenage de plus de 55 minutes de bonheur.
Une confirmation du talent du groupe. Avec de l’expérience acquise et un Cd en béton armé Machina Deus Ex est parti pour la conquête de la planète gothique. Un seul mot BRAVO !!!!!!
Julien
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ULTRAROCK (webzine / mars 2008)
Ben voilà, il est enfin sorti, ce premier véritable bébé des MACHINA DEUS EX. Les parents sont très fiers et ont décidé d'appeler ce petit bout de chou « Figurines ».
Je tiens, dans un premier temps, à rassurer les MACHINA DEUS EX en leurs disant que c'est un beau bébé à qui ils ont donné vie. Seulement quelques jours d'existence et déjà si mature et structuré que cela ne me laisse entrevoir que de bonnes choses pour son avenir.
Les MACHINA DEUS EX étant sincère et ouvert d'esprit, je ne doute pas qu'ils poursuivront avec d'autres bambins aussi agréables.
Dave
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VERDAMNIS (webzine / février 2008)
Machina Deus Ex propose donc une musique variée, travaillée, originale aussi, au rendu irréprochable.
Sans hésitation un des "jeunes" groupes français à suivre au plus près, et pouvant se permettre d'être ambitieux, sans rougir.
Mister S.
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ZIC A ZIC (webzine / janvier 2008)
On sent que les morceaux ont été peaufinés à l’extrême et que les nombreux concerts donnés par le groupe lui ont permis d’atteindre une impressionnante maturité mais c’est en premier lieu par l’osmose totale qui se dégage de « Figurines » que Machina Deux Ex scotche l’auditeur !
La puissance du metal en trame de fond et la teinte outrageusement mélodieuse du chant parviennent à se rejoindre dans un pétillement général qui donne à l’ensemble des allures de rock… champagne ! Ca valait le coup d’attendre tout ce temps …
Fred Delforge
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ZONE X’PRESS (webzine / juin 2008)
Le premier album du groupe risque d’en surprendre plus d’un (…) Un monde où metal-électro et goth-rock s’entrechoquent avec efficacité au travers de titres tantôt dynamiques et futuristes, tantôt planants et sensuels.
Kévin
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CHRONIQUES
"UNEASE"
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20
minutes (quotidien) – Février 2006
Aussi puissant que mélodique,
le metal de Machina Deus Ex alterne riffs sauvages
et nappes de synthé planantes. L’univers
du groupe rappelle celui de Dying Tears ou The Old
Dead Tree. Une alchimie réussie.
Accros
du metal (Les) (webzine) – Avril 2005
Machina Deus Ex incorpore à sa musique diverses
ambiances sombres et planantes accompagnées
de synthés aériens qui transportent
l’auditeur dans un autre monde fait de volupté
et de beauté éthérée.
(…) Réussite en tous points.
Acteurs
de l’ombre (les) (webzine) – Mai 2005
Le caractère hypnoïde des compositions
n’altère en rien leur densité
avec une section rythmique qui reste toujours très
présente et ne s’adoucit que rarement,
accessibilité ne signifiant en aucune façon
complaisance chez Machina deus ex dont les chansons
séduisent sans se prostituer à l’autel
de la facilité, ce qui n’est pas la
moindre de leur qualité.
Adrenalyn
(webzine) – Mai 2005
Machina Deus Ex possède de réels atouts
qu'on espère voir encore mieux maîtrisés
pour nous offrir un album qui pourrait être
d'un effrayant charme.
Audiometal
(webzine) – Avril 2005
Les six français évoluent dans ce
style si caractéristique qu’est le
trip metal (dixit le groupe), mélangeant
sonorités rock atmosphériques et riffs
typiquement metal mâtinés de teintes
électros et d’une once indéniable
de poésie et de mélancolie.
Les
Autres Mondes (webzine) – Octobre 2006
Le concept s'avère touchant et efficace.
Chuul
(webzine) - Juin 2005
Une impression très mélodique et lancinante,
entrecoupée de passages plus mouvementés,
comme pour sortir l’auditeur de cette mélancolie,
et l’y replonger encore plus fortement.
Cryptic
Madness (webzine) – Mars 2005
De véritables petits moments hors du temps.
Crypt’O
Goths (magazine) - Octobre 2005
Une véritable petite perle. (…) De
très belles compositions.
Darkmag
(webzine) – Mars 2005 "Unease"
est à la hauteur de l’ambition des
membres de ce sextet des Yvelines : professionnel.
(…) Une formation à suivre pour les
admirateurs du genre, qui peut se hisser chez les
"grands".
D-Side
(magazine) – Mars/Avril 2005
Machina Deus Ex, méchant groupe de «
trip metal » qui offre un redoutable crossover
entre goth-métal parfois doom et séquences
dark électro décavées. C’est
beau, puissant, super bien produit et l’alternance
chant féminin/chant masculin clair et mélodieux
est originale.
Eklektik
(webzine) – Juin 2005
MDE nous propose une dualité vocale bien
différente de celle à laquelle on
est habitué bien trop souvent. (…)
Le mélange est réussi et la sauce
prend tout de suite, surtout sur des morceaux aussi
irrésistibles que « Last Scene »
et « Misfired Treaty », soit ceux ou
les grattes sont les plus heavy. (…) "Unease"
est finalement un disque tripant, à la fois
planant, mélodique et très accrocheur.
Elegy
(magazine) – Juin 2005 Machina
Deus Ex propose un cinq titres des plus efficaces
grâce à une production irréprochable
et des mélodies imparables. Le metal mélancolico-lyrique
de ce sextet mêle l’énergie d’un
Metallica, la suavité d’un Lacuna Coil
et des nappes de synthé qui ne déplairaient
pas aux fans d’Anathema.
E-Zic
(webzine) – Avril 2005
Machina Deus Ex nous sert "Unease" qui
s'avère être très professionnel
tant dans l'interprétation que dans la production.
Machina Deus Ex a bien digéré ses
influences tout en s'en démarquant légèrement.
Fnac
Champs-Elysées (coup de cœur du disquaire)
– Janvier 2005
Machina Deus Ex nous offre un disque hors du commun.
(…) Ne passez pas à côté
de ce groupe d'une rare inventivité.
French
metal (webzine) – Mars 2005
Un metal gothique vraiment bien exécuté,
servi par une production très correcte. (…)"Unease"
défile du premier au dernier titre tout en
mélodie et en douceur, on en perd le fil
et on se laisse tout simplement transporter.
Guts
of darkness (webzine) – Janvier 2005
Les compos sont encore une fois très inspirées
avec de réelles émotions derrière.
(…) C'est aussi cela qui fait le succès
de ce « 5 titres », la diversité
des styles, des influences et des émotions.
Hard
Rock (magazine) – Février et Mai 2005
Un gros travail d'harmonies a été
effectué. (…) Si le mélange
goth-indus-metal ne vous fait pas peur, Machina
Deus Ex est fait pour vous.
Horde
Noire (La) (webzine) – Avril 2005
Un très bon premier mini-cd qui marie diverses
influences de façon surprenante au sein des
morceaux, mais qui témoigne d'une personnalité
évidente, ce qui n'est pas donné à
toutes les formations.
Imm3moria
(webzine) – Juin 2005
Deux voix qui s’associent à merveille
(…). Le combo a réussi et d’une
fort belle façon à apportant une nouvelle
touche subtile entre un métal métissé
et un rock agressif aux multiples facettes. (…)
Un très bon album recommandé à
un public ouvert d’esprit ou voulant découvrir
une musique variée.
In
Extremis (fanzine) – Mars 2005
Loin des poncifs très en vogue coté
gothique et métal, Machina Deus Ex se bâtit
pierre après pierre un style bien à
lui quelque part entre rock burné et métal
atmosphérique. (…) Cet "Unease"
se révèle profondément touchant
et unique.
LE
CRY (webzine) – Décembre 2005
La rencontre du metal et de l’ambient.
Leprozy
(webzine) - Avril 2005 Machina Deus
Ex inaugure un nouveau courant, le Trip metal, mélange
d'atmosphères planantes électro, de
riffs plombés, et de voix mixtes claires
absolument superbes. Imaginez Dave Mustaine en train
de jammer avec Portishead sur des riffs d'Anathema
et Paradise Lost. (…) En investissant dans
"Unease ", vous participerez à
l'avènement d'un futur grand.
Marock
Mag (webzine) – Avril 2005
Une douceur sonore caresse vos oreilles au point
de vous donner des frissons. Des nappes de clavier
atmosphériques, des riffs saturés,
une fusion en osmose de deux chants clairs féminin/masculin,
un chant regorgeant de tristesse…une tristesse
qu’on ne peut trouver que sur des Must de
la scène Doom, mais là c’est
pas du tout du Doom !! C’est TRIP METAL, un
nouveau genre à bien retenir !
Metal
Chaos (webzine) – Février 2005
Machina Deus Ex oeuvre durant ce mini CD avec tout
un panel d'ambiance, tantôt très mélodique
accompagné par un clavier qui mène
une très bonne atmosphère, puis les
guitares saturées développent un metal
très bien exécuté. (...) Un
excellent CD et en attendant un véritable
album à la hauteur de ce MCD...
Metal
Impact (webzine) – Mai 2005
Un metal atmosphérique riche en émotions
et qui cache aussi la mélancolie du gothique.
(…) MACHINA DEUS EX fait preuve d’un
savoir-faire impressionnant qui rend les compositions
impeccables de maîtrise.
Metal
Fly (webzine) – Février 2005
Une démo bien exécutée et conçue
...
Metal
France (webzine) – Avril 2005
Ce mini-album est un véritable concentré
d'émotions. Perdue quelque part entre un
metal classique et clair à la Metallica période
"Black Album" et un Lacuna Coil au meilleur
de sa forme, Machina Deus Ex nous invite à
une danse enivrante et parfumée à
laquelle vous ne pourrez résister. Les ambiances
metal gothique et les mélodies complètent
ce parfait met, frais et sucré.
Metalland
(webzine) – Juin 2005 L'alternance
voix claire féminine/ masculine et quelques
parties plus rageuses masculines sont sublimes,
les guitares sont puissantes et variées,
les ambiances sont touchantes.
Metallian
(webzine) – Avril 2005 Machina
Deus Ex sait déjà de manière
intuitive, créer des pièces musicales
bien singulières (…). Ce mini CD est
tout simplement irréprochable !
Nawak
Posse (webzine) – Juillet 2006
L’efficacité du mariage d’atmosphères
délicates et de riffs ravageurs (…)
Une tragédie gothique en 5 actes. (…)
L’univers musical a tout pour séduire
les amateurs de musiques planantes et mélancoliques.
Obsküre
(webzine) – Mars 2005 Machina
Deus Ex tient assurément son début
de carrière de main de maître. (…)
Diablement intéressant et prenant, rien n’est
oublié, le souci du détail est réel,
preuve que Machina Deus Ex maîtrise son sujet.
Odym’etal
(fanzine) – Août 2005
Une belle carte de visite qu’il conviendrait
maintenant de concrétiser. Le groupe s’est,
semble t-il, donné les moyens de faire un
grand pas. A soutenir.
Orpheus
(webzine) – Janvier 2006 Encore
une belle surprise venue de notre beau pays. (…)
Les fans de Lacuna Coil devrait adorer.
Part
d’ombre (La) (webzine) – Janvier 2005
"Unease" pourrait se rapprocher des grecs
d'On Thorns I Lay avec une puissance et une intensité,
oserais-je dire encore plus développées
! (…) Machina Deus Ex mérite bien haut
sa place sur le podium du gothic métal autoproduit
!
Pavillion
666 (webzine) – Juillet 2005
Ce MCD arrive à se démarquer d'autres
formations au style similaire, grâce notamment
à un sens de la composition très riche,
une volonté de bien faire et de nous offrir
des titres mélodieux, à la fois dans
un registre metal, mais qui est rejoint par des
touches pop, goth rock... Un éclectisme bienvenu
qui sert magistralement leurs compos.
Pull
the chain (webzine) – Juillet 2005
It contains enough riffage and good ideas to stand
out from the crowd, why not ? They sound quite fresh
too and the vocal works which alternate good female
lines with clean male works is one of the main band's
trademark.
Scar[e]
Culture (webzine) – Avril 2005
Un rythme relativement bien soutenu, une voix féminine
fort agréable et des riffs assez bons (…).
Ceux qui cherchent l'efficacité à
tout prix seront ravis.
Spirit
of Metal (webzine) – Avril 2005
Tout est fait pour vous faire vous évader.
Des nappes de clavier somptueuses, une utilisation
de la guitare sur certains morceaux que ne pourrait
pas renier Robert Fripp. Non vraiment, le résultat
est assez surprenant.
Transit
Mag (magazine) – Avril 2005
"Unease " est difficilement classable,
mais le terme employé par le groupe lui-même,
à savoir "trip metal", me paraît
être une définition adéquate.
Découverte agréable tout en douceur
!
Ultrarock
(webzine) – Février 2005
Les deux vocalistes (chanteur et chanteuse) se partagent
toujours avec autant d'efficacité le devant
d'une musique toujours aussi énergique. Mais
ici, pour ces cinq nouveaux titres, le tout semble
mieux maîtrisé que précédemment.
Les atmosphères sont plus simples, plus efficaces
et plus accrocheuses.
Underground
Investigation (fanzine) – Septembre 2005
MACHINA DEUS EX se révèle très
envoûtant, optant pour des mélodies
qui nous font tourner la tête, où la
dualité des voix masculine et féminine
sont autant d’appels de nymphes nous attirant
dans leurs jeux sensuels voire érotiques,
à l’issue fatale. (…) Une très
bonne surprise.
Zic
A Zic (webzine) – Février 2005
Machina Deux Ex a trouvé un style, un de
ceux dont ils vont avoir du mal à se séparer
tant l'équilibre entre le côté
harmonique et le côté metal est parfait
! Fluidité des voix, aboutissement des harmonies,
le résultat est d'une finesse extrême,
mis en valeur par des compositions de très
bonne facture. (…)Un énorme espoir
pour les années à venir…
CHRONIQUES
"WAITED HOPES"
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78
Tour Deux
titres aux sonorités atmosphériques
avec des arrangements travaillés, entre heavy
metal et gothique à l'univers romantique.
Asaprod
Machina Deus Ex est un groupe originaire
des environs de Versailles. " Waited hopes " est
un mini-CD contenant deux
titres,
et c'est en fait leur troisième démo.
Ils définissent leur style comme du trip
metal ! Encore une nouvelle étiquette ? En
fait, c'est tout simplement du metal atmosphérique
! L'appellation leur convient peut-être mieux
que gothic metal (même si leur musique comprend
de nombreux éléments gothiques) parce
que les influences trip-hop sont présentes,
mais bon… Peu importe les étiquettes,
de toute façon, le plus important est la
qualité et elle est bien présente.
Machina Deus Ex pratique une musique originale et
intéressante. C'est assez planant, joué
sur un rythme influencé par le trip-hop et
à un tempo moyen. Le groupe joue sur l'alternance
de chants féminins (très jolie voix)
et masculins (pas mauvais mais l'accent français
est trop marqué). Des samples et des effets
electro sont également assez présents.
Le groupe a en tout cas bien digéré
toutes ses influences (même si certaines,
comme Anathema, sont assez perceptibles) et propose
une musique tout à fait personnelle. Les
deux morceaux sont qui plus est très inspirés,
accrocheurs et chargés d'émotion.
En plus, le son vaut largement celui de groupes
professionnels. Évidemment, deux chansons,
c'est un peu court pour se faire une véritable
idée de la valeur d'un groupe, mais s'ils
poursuivent dans cette voie, c'est obligé
qu'ils trouvent un label. C'est en tout cas plus
qu'encourageant !
Beyond
Issu du paysage musical de l'hexagone
français, Machina Deus Ex nous propose ici
son troisième et dernier enregistrement en
date (autoproduction deux titres sortie fraîchement,
en 2003). Les toutes premières notes du titre
"Last Scene", jouées par des nappes électroniques
sombres et nostalgiques, sont rapidement harmonisées
par l'ajout de l'ensemble orchestral (guitares,
basse et batterie) et lyrique (alternance et superposition
de vocaux féminin/masculin). On se laisse
facilement et agréablement prendre par la
musique obscure et mélodique de ce sextet
français… Les arrangements semblent
en effet avoir été travaillés
et surtout bien pensés. Distillant un Gothic
Metal aux consonances atmosphériques proche
d'un Paradise Lost ou d'un Anathema d'une époque
lointaine et même révolue, ce "Waited
Hopes" reste un pur plaisir auditif, même
si l'originalité n'est pas au rendez-vous.
Cependant, les quelques 10 minutes de son ne laissent
présager que du meilleur pour la suite. Il
reste à ce groupe le passage à une
échelle supérieure, mais cela semble
être programmé pour 2004. Restons à
l'affût…
Cafzic
Bon, à la base ce n'est déjà
pas trop mon truc, un métal assez mélodique,
ce que je définissais il y a bien longtemps
comme le hard-rock, avec des parties chants très
travaillées qui se laissent écouter
mais un ensemble qui me laissent globalement un
peu froid, je le laisse à d'autres et pourtant
le son est tout de même à la hauteur.
Pour les amateurs de métal aérien
et fin.
Decibels
2
titres pour une demo c'est peu. Oui, mais quand
on passe en boucle ces 2 titres de très nombreuses
fois et qu'aucune lassitude n'apparaît, mieux
même, qu'on se laisse happer par les mélodies
de "Waited Hopes" on sait qu'on tient là
un groupe qui mérite une certaine attention.
MACHINA DEUS EX nous délivre un metal atmosphérique
teinté de passages plus typés gothic-metal,
le tout avec quelques éléments électroniques
qui offrent un apport discret à l'ensemble
déjà fort solide. A lire les réactions
sur les 3 demos du groupe, celui-ci aurait son propre
style identifiable... Je mettrais un léger
bémol à cet enthousiasme généralisé
car je retrouve pas mal d'éléments
communs avec des groupes dit gothiques allemand,
et je pense précisément à DARKSEED.
Maintenant cela n'enlève rien au talent du
groupe : le rapprochement avec le groupe allemand
est basé entre autres sur la qualité
des voix, que MACHINA DEUS EX utilise encore mieux
puisque pas moins de 3 chants distincts et/ou mêlés
sont de la partie et ne font que magnifier certains
passages. La force du sextet des Yvelines tient
non seulement dans la qualité des 2 titres
de cette demo (au demeurant fort bien produite)
mais aussi au potentiel de diversité musicale
décelé qui laisse augurer une suite
prometteuse.
Guts
of darkness 2 nouveaux titres au
programme pour les banlieusards de Machina Deus
Ex. Cette démo-CD d'à peine 10 minutes
représente selon moi la suite logique de
la carrière du sextette. Le style n'a pas
beaucoup évolué, mais il faut quand
même avouer qu'ils avaient déjà
trouvé leur voix et leur style propre sur
la démo précédente "X-72".
Au programme donc toujours du metal plutôt
atmosphérique avec des sonorités légèrement
indus qui donne ce qu'ils appellent eux-mêmes
le "trip-metal". Les 2 titres présentés
(dont 1, "Escape", était déjà
disponible, dans une autre version bien entendu,
sur leur toute première démo alors
qu'ils s'appelaient encore Deus Ex Machina) sont
bien inspirés, accrocheurs et variés.
D'ailleurs, la variété et l'originalité
sont d'autant plus grandes, qu'au niveau des vocaux
ils s'y sont mis à 3, dont une chanteuse.
On sent aussi que ces morceaux ont été
travaillés au maximum avec beaucoup d'arrangements
et d'ajouts d'éléments judicieux.
En bref, rien n'a été laissé
au hasard et cela s'entend ! De plus, la production
est bien plus puissante que par le passé
et la principale évolution par rapport à
la précédente démo se situe
selon moi au niveau de la maitrise de la musique.
Le groupe est définitivement beaucoup plus
pro et mature. Alors d'accord, il n'y a que 2 titres,
mais mieux vaut la qualité que la quantité,
et pour le coup, de la qualité, on n'en manque
pas ici, avec en plus beaucoup d'orignalité
! Du très bon travail.
In
extremis Troisième
démo pour ce groupe des Yvelines où
la dualité vocale féminine / masculine
les démarque aisément de tout ce qui
se fait actuellement en France. Suaves ambiances
planantes trip-hop sur un sombre métal atmosphérique
qui emprunte par touches homéopathiques à
Anathema, Paradise Lost, Zeromancer avec bien sûr
de temps à autres des réminiscences
Sup difficilement évitables. Une démo
un peu courte (2 titres pour 9 minutes) mais diablement
efficace qui devrait leur être profitable
dans un univers où le copier/coller règne
en maître, en tout cas ça ne serait
que justice. Petite préférence pour
le deuxième titre "Escape" un peu plus mordant
avec son feeling bien doom. Il leur reste à
bosser un peu les voix pas encore irréprochables
(les deux jeunes gens ne semblent pas encore assez
sûrs d'eux). En tout cas, le prochain mcd
devrait être produit par Alexis Phélipot
(Kaizen, No Return), gros son en perspective. Et
plutôt que de se coltiner des étiquettes
pénibles ou farfelues, Machina Deus Ex a
baptisé lui-même son style si peu commun
de trip-métal. Osez le voyage !
La
Part d'ombre Deux
titres pour une durée qui avoisine les dix
minutes pour cette troisième démo
! Si il est vrai que cela fait juste pour rentrer
en profondeur dans le monde intemporel de MACHINA
DEUS EX cette simple caresse musicale suffit pourtant
à étourdir d'accroches et d'ivresses
celui qui y posera l'écoute ! Ainsi interpelante,
ce groupe Yvelinois qui définit sa musique
comme étant du "Trip métal" (mélange
de trip hop et métal énergique et
mélodique) nous emmène en fait dans
un métal d'apparence atmosphérique
aux guitares pourtant puissantes, accrocheuses et
porteuses de mélodies enivrées. C'est
par cette structure de base déjà largement
efficace que le groupe peaufine les contours de
ses compos en utilisant une alternance de chants
féminins/masculins tout deux excellents et
délicats, tantôt en duo ou partagés
; criés ou planants ; et ajoute dans un élan
de finition un synthé harmonieux aux touches
mélodiques et atmosphériques qui peaufine
d'une couche aussi présente que nuancée
et légère l'identité musicale
du groupe. Au résultat ces deux compos sont
aussi délicates qu'accrocheuses et continuellement
baladées par des rythmes variés, unis
et efficaces. Ah..., dommage qu'il n'y ai que deux
titres sur cette démo car à leur écoute
on en veut facilement dix fois plus. En tout cas,
ceci prouve une chose qui n'est pas des moindres
: derrière cette musique superbe aux rythmes
délicats, enlaçants et à la
production sans reproche se cache un groupe qui,
s'il continue sur cette voie, se hissera aisément
à des niveaux supérieurs. Peut-être
avec un label ! A mon avis sans doute car ces 10
minutes nous prouvent qu'ils le méritent
!
Leprozy
Le
Heavy metal et le Hard rock sont très souvent,
et à juste titre d'ailleurs, présentés
comme un arbre dont chaque branche, chaque ramification,
représenterait un courant musical particulier
: death, black, doom, heavy, grind, glam, crust-noisy-post-core-white
metal, … et cet arbre, d'une vigueur impressionnante,
ne cesse de se développer et de produire
régulièrement de nouveaux rameaux,
preuve de la vivacité de la scène
metal mondiale, et de ses croisements avec d'autres
styles, plus ou moins proches. MACHINA DEUS EX fait
assurément parti de ces rejetons, et inaugure
avec son " Unease ", un nouveau courant, le Trip
metal, mélange d'atmosphères planantes
électro, de riffs plombés, et de voix
mixtes claires absolument superbes. Imaginez Dave
Mustaine en train de jammer avec PORTISHEAD sur
des riffs d'ANATHEMA et PARADISE LOST ! L'image,
totalement surréaliste, s'applique à
merveille à l'atmosphère si particulière
et unique créée par les six musiciens
de MACHINA DEUS EX. Assurément un grand groupe
en devenir, et en plus ce sont des français
! En investissant dans " Unease ", vous participerez
à l'avènement d'un futur grand, et
aurez dans les mains un produit original, garanti
sans colorant. Les suiveurs sont prévenus
!
Les
acteurs de l'ombre Voici un jeune
groupe yvelinois qui officie dans ce qu'ils appellent
un "Trip Metal". Mais qu'est-ce-que c'est ? Vont
dire certains, et surtout, de quoi se nourrit ce
nouveau style ? C'est tout simple ! Après
deux démos réalisées avec de
faibles moyens, l'originalité du groupe est
enfin mise en avant, ils vont marier les ambiances
de la "Trip Hop" (plages de synthé, incursions
de samples) et la puissance du Metal. Dans ce domaine,
leurs influences sont : "Anathéma", "Paradise
Lost", "Metallica", "Death", "Zeromancer", "Sup"
ou "On thorn I Lay". Les deux porte-parole du groupe,
lui et elle derrière les micros, vont faire
apparaître la touche de finition de ce style
qu'est le "Trip Metal". Malheureusement, ceci n'est
qu'une démo de deux titres, trop brève
à mon goût mais ce n'est pas grave,
on est content tout de même ! "Last Scene"
: un morceau qui commence par une belle nappe de
synthé, le groupe part tout de suite après.
L'émotion dans les deux chants est grande
car deux voix claires bien agencées donnent
à elles seules une dimension en plus et c'est
très planant dans l'ensemble et bien appuyé
quand il faut.. Une très belle façon
de ressentir la musique ! Merci !! "Escape" : un
début Heavy pour continuer dans la mouvance
planante, la touche "Anathema" se fait entrevoir
et ce côté Heavy est très bien
mis en place, avec de nombreux changements de riffs
aussi touchants les uns que les autres ! A quand
un véritable album ? Nous sommes impatients
!!
Marockmag
Quand
la fureur s'apaise en douce mélancolie, ça
donne Machina Deus Ex ! Machina Deus Ex est une
formation Yvelinoise, qui nous livre un petit bijou
assez rare, avec cette démo deux titres,
deux titres dont vous ne risquez pas de vous lasser
même au bout de la 100 ème écoute.
Une musique atmosphérique que le groupe nomme
de Trip metal, avec une belle voix féminine,
accompagnée d'un chant masculin entre clair
et crié, d'où se dégage une
grande tristesse, sur quelques passages on ne peut
s'empêcher de penser à « Theater
Of Tragedy », même s'il est difficile
de comparer le groupe à toute autre formation,
vu la grande originalité de leur travail
!! N'empêche qu'il reste un peu difficile
de se faire un avis sur le groupe à travers
2 titres de 9min40. Et pour l'info le nouveau mcd
du groupe sera disponible au cours du mois d'octobre,
ne le ratez surtout pas !!! (note : 8/10)
Metal
Chroniques Deux
titres à peine pour cette démo qui
nous laisse un peu sur notre faim. On pourrait presque
parler d'un teaser car une démo plus conséquente
est prévue pour cet été 2004.
Machina Deus Ex nous vient des Yvelines et nous
propose donc ces deux titres qualifiés de
« Trip-metal ». Le groupe entend par
là un mélange de trip-hop (pour les
ambiances et les samples) et de metal énergique
et mélodique. On ne peut qu'adhérer
à cette définition bien que, personnellement,
je trouve que la musique de Machina Deus Ex reste
trop énergique pour être qualifier
de trip-hop. Et cela ne gâche rien à
la qualité de la musique bien au contraire
car il y'a une couleur goth / indus fort appétissante
dans ces deux titres. Le son d'ensemble est tout
à fait correct. Last scene s'impose dès
la première écoute comme un potentiel
single. Tout y est : ligne de chant inspirée
et interprétée par la dualité
chant masculin (clair dans un registre attrayant
de love-metal / metal goth à la scandinave)
et féminin (doux et sensuel comparable à
celui de Liv Kristin), claviers bien amenés
et riffs de guitare puissants et efficaces (ainsi
que des interventions en clair pertinentes). Il
serait bien difficile de comparer Machina Deus Ex
à n'importe quelle autre formation, leur
musique est à la fois envoûtante et
puissante, surtout très mélodique
et en conséquence fort accrocheuse. Escape
est tout aussi réussi. Démarrant sur
un riff endiablé aux sonorités heavy
ce morceau possède les mêmes qualités
que Last scene : lignes de chant accrocheuses, riffs
killers qui donne une sacré envie de headbanging.
Et deux titres, c'est vraiment trop court au regard
de la qualité de la musique de ce sextet.
La suite, vite ! ! ! !
Metalfly
Machina
Deus Ex est l'auteur de 3 démos , "Don't
Look In My Soul" (2000) , "X-72" (2001) et ce "Waited
Hopes" qui date de l'année dernière.
En 2 titres, on se rend vite compte que ce groupe
est très pro car il a un son très
travaillé. A la première écoute,
il m'a fait penser à Shadework et Process,
deux groupes UG connus ici. Ce rapprochement est
surtout dû au fait que leur métal ne
déplaira pas aux gothiques et que , dans
les rangs de ce sextet des Yvelines, on compte une
chanteuse. Mais, cette dernière partage également
le chant avec un comparse masculin ("Deus Ex", jeu
de mots ;-)). Du déjà-vu dans
la configuration certes, mais un peu moins dans
la musique. Leurs influences avouées sont
le gothic tendance électro (Zeromancer) ,
tendance metal (SUP, Paradise Lost, Anathema) ,
le trash (Metallica,Megadeth) et naturellement le
"metal à chanteuse" (On Thorns I Lay, auquel
je rajouterais Theatre Of Tragedy). Les
deux morceaux sont assez différents et montrent
l'étendue des capacités du combo.
"Last Scene" est leur face calme. Il débute
par un plan de 6 notes au clavier qui reviendra
tout du long du morceau. "Escape" , la compo suivante,
était déjà sur leur toute première
démo mais dans une autre version. Elle est
plus pêchue. Bref
, les arrangements sont généralement
bons même si on note quelques approximations
(notamment au niveau de la superposition des voix
masculines et féminines). Le genre de détail
qui peut faire mal pour une formation de ce style
mais qui est aisément corrigé dans
un gros studio. En effet , il leur manque juste
une structure plus conséquente pour évoluer
et accumuler de l'expérience (notamment scénique)
. Si on leur en donne les moyens, il est certain
que ce groupe peut évoluer vers une notoriété
certaine. Et le premier pas vers celle-ci sera sans
doute leur album qui est en cours de préparation.
Obsküre
Machina
Deus Ex est un jeune groupe yvelinois, qui qualifie
le style dans lequel il évolue de trip métal,
soit un mélange de trip hop et de métal.
On ne va pas le contredire, mais il convient de
noter que les éléments « trip
hop » se ressentent uniquement très
légèrement au niveau de certaines
atmosphères composées de plages de
synthés et de samples ; rien au niveau du
rythme, ne rappelle le genre en question. Peu importe
l'appellation, la musique de Machina Deus Ex est,
en effet, atmosphérique. Les ambiances des
deux titres de « Waited hopes », leur
seconde démo, rappellent d'ailleurs parfois
Theatre Of Tragedy époque « Velvet
Darkness They Fear » ou « Musique ».
Le groupe concilie énergie et douceur, en
alternant passages heavy et passages atmosphériques,
et en jouant sur trois types de voix différents
: un chant masculin tantôt clair, tantôt
crié et une voix féminine. Malgré
la production assez faible, on se laisse prendre
par les mélodies accrocheuses de ces deux
titres et notamment par le désespoir expiré
par les deux voix claires sur « Last scene
». Avec le second morceau le rythme s'accélère
et le son se durcit, mais les mélodies résistent,
incisives et spleeniennes. S'il est difficile de
donner un véritable jugement sur seulement
deux titres, on peut tout de même concéder
à Machina Deus Ex, si ce n'est une grande
originalité, tout de même une personnalité
marquée. Pour info, le groupe va enfin enregistrer
son premier mini-album courant 2004, à suivre
donc…
Ody'metal
Troisième
démo pour ce groupe et seulement deux titres,
de quoi rester sur sa faim. Le groupe semble gérer
sa montée en puissance et rassemble tranquillement
toutes les bonnes choses pour offrir au bon moment,
le meilleur de lui même. « Last
Scene » figurera sur le prochain mini
Cd. On notera l'intro, claviers et guitares, selon
la même trame que NOSTRADAMEUS sur le titre
« Far too Strong ».La voix
masculine plaintive ou agressive et la voix féminine
envoûtante sont habilement combinées.
Le groupe a rendu les passages musicaux lourds et
puissants, faisant une belle transition avec le
reste plus prog et atmo. « Escape »
qui vient de la première démo a été
retravaillé. Bons riffs d'entrée avec
un chant à deux qui fait penser à
MORDIGGAN sur les passages rythmés. Une ambiance
rappelant AKIN ressort pour les passages plus intimistes.
Voilà une belle approche avec un côté
mélodique indéniable sur une base
instrumentale bien aguerrie. Pas facile de classer
ce groupe audacieux. « Prog Metal Mélodique
et Atmo » pourrait peut-être convenir.
On attend le prochain Cd qui sera décortiqué,
c'est certain, le groupe est attendu. Même
dans ce cas, surtout pas de pression supplémentaire,
faites ce que vous savez faire et aussi bien que
ces deux titres et ce sera gagné. On compte
sur vous.
Pull
the chain Two songs promo and not
something that simple to label (unfortunately as
it would make my job a lot easier…). I already
reviewed Machina Deus Ex's previous studio work
titled «X-72». If I remember well, this
french act covered a Daniel Balavoine unbearable
song (lucky english speaking readers, you surely
didn't know this french singer). The music portrayed
here isn't that aggressive, quite slow in pace and
atmosphere, with male and female whispered (good)
vocal sections. The first track «Last Scene»
is for my opinion the most exciting one, perhaps
a bit of Paradise Lost («True Belief»
-Icon period) with an almost emo core vocal work:
melancholy and emotional. Nothing moshable here
and nothing really groundbreaking but there is certain
classicism present in Machina Deus ex music.
Sons
of Wotan Parlons
du groupe. Machina Deus Ex, soit 6 jeunes yvelinois,
et 3 démos, dont vous lisez la chronique
de la dernière, qui s'intitule Waited Hopes.
Elle ne comporte malheureusement que deux titres,
Last Scene et Escape . Un ou
deux de plus auraient été les bienvenus.
Je vais d'abord parler un peu de la musique. Machina
Deus Ex est très sombre, assez atmosphérique.
Les deux chants féminins et masculins se
complètent assez bien, les mélodies
sont bien trouvées. Au niveau des influences,
on entend surtout Anathema. La première chanson,
Last Scene , malgré de bonnes idées,
n'arrive pas à convaincre, car trop répétitive.
Par contre, Escape, est beaucoup plus intéressante
: Une intro bien sympathique, le chant bien placé,
des riffs sympa, bref, je ne m'avancerai pas trop
à dire que c'est le pied. Au niveau de la
production, y a du bon comme du mauvais. Bon car
très agréable à écouter,
pas trop gras, bref ça correspond bien avec
la musique. Seul bémol, une certaine platitude
se fait ressentir ; Aucun instrument n'est mis en
avant particulièrement, le clavier est même
plutôt en retrait, la batterie pas assez résonnante.
Je pense avoir tout dit. Au final, un bon petit
groupe, avec du potentiel. Une chose est sûre,
c'est qu'on les attend au tournant.
Violent
Solutions Difficile
de se faire un véritable avis sur la qualité
d'un groupe avec un CD contenant seulement deux
titres. Machina Deus Ex nous vient des Yvelines
et nous présente ici sa troisième
démo après "Don't look in my soul"
et "X-72". MDE est composé de 6 membres (dont
un vocaliste de chaque sexe) et on navigue ici dans
un métal aux accents gothiques assez mélancolique.
La bio parle de "trip metal" sous prétexte
d'un mélange entre trip-hop et metal. Je
ne reviendrai pas dessus car cette définition
n'est pas vraiment de bon aloi, l'esprit du trip-hop
étant à mille lieux de ce qui est
présenté ici. C'est du métal
mélodique, avec des plages de synthés
qui peut faire penser à Mondprojekt ou alors
éventuellement à du Katatonia, en
particulier pour l'aspect lancinant de "Escape".
Ce titre est d'ailleurs le plus intéressant
des deux car l'autre, "Last scene" n'est pas vraiment
débordant d'originalité et plutôt
mal desservi niveau vocalises. Ces dernières
ne sont pas mauvaises mais les vocaux masculins
ont souvent du mal à s'allier correctement
avec les vocaux féminins, un peu comme si
il y avait eu un manque de concertation avant l'enregistrement.
Leur mixage assez en avant est aussi responsable
de cet état de fait. Le travail de guitares
est par contre très correct et on a pas mal
de plaisir à entendre les bonnes lignes mélodiques
qui émaillent cette démo. D'ailleurs,
MDE est assez doué pour pondre des bonnes
mélodies et la tristesse palpable à
chaque instant, la bonne assise rythmique, la production
agréable et les arrangements de synthés
corrects en font un groupe à suivre. La question
des vocaux encore un peu hésitants, en particulier
les féminins, restera à régler
mais j'ai déjà entendu bien pire dans
le style. Pas mal.
Zicazic
Machina
Deus Ex revient sur le devant de la scène
avec cette troisième démo qui laisse
entrevoir les énormes progrès réalisés
depuis leurs deux premiers essais. Si le contenant
est un peu faiblard puisqu'on n'y retrouve que deux
bref titres, le contenu est de haute volée !
Fort d'une quinzaine de concerts mais surtout d'un
line-up qui tend à se stabiliser, Sandrine,
Grégory, Michaël, Yann, Arnaud et Xavier
lâchent leurs dernières banderilles
et partent bille en tête à la recherche
d'une maison de disques et d'un tourneur digne de
ce nom avec pour objectif, l'enregistrement de leur
premier album en 2004 mais également de nombreux
concerts à la clé. Si
« X-72 » pêchait par
un manque évident de puissance, « Waited
hopes » a réussi à résoudre
le problème et affiche une production tout
à fait convenable. Difficile de se faire
une idée sur seulement deux titres mais on
constate que le groupe a encore évolué
sur le plan de la composition et que les références
illustres sont en bonne voie d'assimilation. Les
relents de Maiden, Anathema ou Paradise Lost se
font encore partiellement sentir mais on note une
véritable envie de s'en démarquer.
Diamétralement opposés, les deux morceaux
proposés sont une bonne façon d'appréhender
la diversité et les multiples talents du
sextet Yvelinois et même s'il y a encore du
travail à fournir sur les arrangements, le
potentiel est bel et bien là… C'est
encourageant !
CHRONIQUES
"X-72"
>
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Hard
Rock Magazine n°74 "Machina
Deus Ex nous propose un Metal soft aux ambiances
travaillées, résolument plus axé
sur les atmosphères que sur l'énergie,
même si, de temps à autre, tout part
en vrille sur un tempo à 240. Très
originale, la musique de Machina Deus Ex l'était
tout autant sur la première démo du
groupe, "Don't Look In My Soul", parue en 1998.
Seule la production est à revoir, les guitares
laissant entendre un son de moustique et les autres
instruments n'étant pas génialement
mixés. Un petit effort, les gars !"
Elegy
n°18 "Machina
Deus Ex nous présente sa nouvelle démo
5 titres, X-72, production intéressante,
la musique de ce groupe originaire des Yvelines
se qualifie de "Trip Metal", avec comme
influences avouées Paradise Lost, Anathema,
Sup ou encore Zeromancer et Metallica. Etrange mélange
au premier abord mais, finalement on se laisse séduire
par ces ambiances tour à tour atmosphériques
et brutales."
Guts
Of Darkness "Cette démo est
plutôt particulière. Le mélange
entre de l'indus assez calme et du metal atmosphérique
est saisissant. Le rendu est vraiment très
bon et les compos sont recherchées tout en
gardant chacune un fil directeur. Les vocaux sont
également très travaillés et
diversifiés, alternant des passages aggressifs
et plus calmes, le tout agrémenté
de chant féminin. Les 4 morceaux sont tous
très différents et pourtant, on sent
bien qu'ils ont été écrits
dans le même état d'esprit. Franchement,
je suis bluffé par la qualité de ce
CD 4 titres ! Le style est vraiment très
original et le tout tient bien la route. Impressionnant
pour un groupe underground !"
Metal
Extreme "Quel curieux mélange
nous propose là ce groupe non moins curieusement
nommé "Machina deus ex" (à prononcer
d'une traite)! Dark atmo? Néo heavy? Inutile
de chercher, ils nous disent faire du "trip métal"...
on est bien avancé. Bon quoi qu'il en soit
même si l'on reste perplexe devant la diversité
des ambiances d'un titre à l'autre, on est
bien en présence de trois excellentes chansons!
Le son est nickel, les compos tournent parfaitement,
en bref tout cela est très pro et les auteurs
ont indubitablement un solide bagage de musiciens.
On est impatient de voir sur une plus longue durée
(un album par exemple?) de quoi il retourne plus
exactement, et dans quel camp joue "Machina deus
ex"... peut-être tout simplement celui de
la créativité la plus débridée?"
Artefact
"Organique, electro indus,
les adjectifs ne manquent pas pour cibler MACHINA
DEUS EX, le plus difficile est d'identifier la musique
qui part dans tous les sens. La production datant
d'une bonne année est peu soignée
mais les ambiances sont là: les voix claires,
mélodiques, death, harmoniques se chevauchent
et donnent une âme à la machine. Les
riffs saturés sur une nappe de synthés
révèlent une expression originale
et personnelle à l'oeuvre. Une reprise inattendue
de feu de Daniel Balavoine est même présentée
et nous montre un visage différent du Metal
que l'on avait pu entendre sur le reste de l'album.
R'Lyeh
Erreur
de la Nature "On
commence par deux minutes de bonheur! Un synthé
nous distille une ambiance psychédélique
à souhait. Ensuite la saturation fait son
entrée et ne vous lâchera plus... Des
morceaux taillés dans le roc! Les influences
majeures ici sont Metallica avec de très
bons riffs, une voix envoûtante et les ambiances
gothiques de Paradise Lost. Une ballade magnifique
nous montre l'étendue des ressources des
7 membres du groupe. A noter la présence
d'un titre caché qui vaut vraiment son pesant
d'or et dont je ne vous dirai absolument rien, histoire
que vous puissiez aller tranquillement sur leur
site et prendre contact."
Dark
Mag "Originaire
des Yvelines, Machina Deus Ex nous propose, avec
X-72, sa seconde démo composée de
quatre titres. Cataloguer le style du groupe se
révèle être une tâche
périlleuse tant les cinq membres de cette
formation explorent à travers cette démo
des territoires musicaux très diversifiés.
Ils affirment néanmoins jouer du «
trip metal ». En tous cas, le résultat
se montre original et convaincant : les trois vrais
titres présents sonnent assez différemment
et développent des atmosphères bien
distinctes. Après une courte introduction,
les premières notes de X-72 Part II se font
entendre : sur un rythme relativement lent, les
guitares assez lourdes, soutenues par des nappes
de claviers, instaurent un climat mélancolique.
Le second titre, Laconi, le plus énergique
de la démo, est dominé par des guitares
plus agressives et un tempo plus relevé,
tandis que les claviers se font plus discrets. Les
vocaux clairs quant à eux évoquent
The Dark Missionary de The Old Dead Tree. Enfin,
The Feeling Of Clouds marque le retour à
une ambiance plus feutrée, notamment grâce
à l'apport de guitares très mélodiques
et l'ambiance générale du morceau
se rapprocherait assez d'un Katatonia en plus épuré.
Le niveau technique des musiciens de Machina Deus
Ex paraît, à l'écoute de ce
X-72, très bon et pour une démo, la
production restitue bien les émotions à
fleur de peau qui émanent des compositions.
Le groupe semble posséder tous les atouts
pour affiner encore son metal mélodique et
atmosphérique et l'on est curieux d'écouter
ce qu'il nous réservera pour l'avenir."
Leprozy
"Passée l'intro electro-futuriste,
La machine à deux sexes (prononcez le nom
du groupe rapidement vous verrez), embraie sur un
Metal proche à la fois de Metallica (le son
et la voix) et d'Anathema (pour les parties plus
calmes). Le synthé est très présent
(pas désagréable pour autant) mais
malheureusement les guitares sonnent un peu plates
à côté, ce qui enlève
pas mal de pêche aux morceaux. Les mélodies
sont bien trouvées... Des petits détails
à corriger en fait rien de grave (le chant
en anglais à travailler par exemple, le son
des grattes). On attend la suite...".
O³
Zine "Oser
prétendre être influencé aussi
bien par SUP que par Daniel Balavoine, le Keufran
s'en lèche le calbut façon grand écart
qui ment méchant. Alors forcément,
MACHINA DEUS EX m'a titillé le bas du ventre,
à un tel point que les tentatives de rut
du Scalp autour de mon corps en sueur me laissèrent
de pizza (ben ouais j'ai envie de pizza et pas de
glace, et je vous dis plein de mots pas bô
si çà vous plaît pas). Et même
si la première écoute est un peu crue
du fait de la production "bout de ficelles", on
sent d'entréé les capacités
du groupe à innover dans un genre devenu
bien rigide. MACHINA DEUS EX nous montre en cinq
morceaux qu'il peut prétendre à une
place au soleil pour peu qu'il s'en donne un peu
plus les moyens. Mais aussi et surtout qu'il impose
sa patte avec encore plus de conviction; ce premier
jet étant tout de même symptomatique
d'un groupe qui se cherche encore." Keufran
"Avec
un nom pareil (lisez d'un trait...), je ne peux
que me porter garant de ce groupe! Trêve de
plaisanterie, MACHINA DEUS EX m'intrigue. A la première
écoute, on a l'impression que les musiciens
cherchent leur voie tant les styles varient selon
les morceaux. Mais après avoir repassé
le CD en mode "repeat" sur ma platine, je me dis
que vu le sérieux avec lequel ils s'attaquent
à ces différents styles, la voilà
peut-être leur voie! Enfin des gens 'ouverts"
qui ne se laissent pas enterrer par le marasme environnant.
Alors qu'il serait si simplede se rallier les fans
d'un genre bien défini, MACHINA DEUS EX préfère
avant tout se faire plaisir (j'en veux pour exemple
la sublime reprise de Daniel Balavoine, Vivre
ou survivre ) en ne se limitant pas dans ses
compos, qui sont réussies de surcroît!
Espérons qu'ils continuent dans cette voie
car il serait dommage de perdre cette spécificité!"
Scalp
Ody'metal
"Ce groupe de 7 membres des Yvelines
délivre une musique intéressante à
plusieurs niveaux. Des ambiances pesantes empreintes
de mélancolie côtoient des envolées
plus heavy et agressives, qui naviguent au milieu
des changements de rythmes totalement maîtrisés.
Les différentes tonalités dans la
voie masculine, tantôt plaintive tantôt
agressive, et la voix féminine amplifient
la personnalité des compositions qui devraient
prendre une toute autre dimension avec un mixage
différent et adapté à la qualité
technique des musiciens. Et puis il y a un titre
supplémentaire caché qui a toute une
histoire."
Jean-Marie
Zicazic
"Machina Deus Ex tire sur tout ce
qui bouge ! Pas de style bien défini, si
ce n'est le trip metal qu'ils revendiquent, mais
une multitude d'ambiances et d'atmosphères
mises bout à bout pour cette deuxième
démo sur laquelle officient Yann Hubert et
Sandrine Rubio au chant, Yann Nédelec à
la basse, Arnaud Boisbouvier à la guitare,
Michaël Moron à la guitare et au synthé
et pour finir Grégory Mebarki à la
batterie et au chant. Notez au passage que Yann
Hubert a été depuis remplacé
au chant par Grégory Mebarki qui a lui-même
laissé sa place derrière les fûts
à Xavier Malleret … Au rayon nouveautés,
on signale également l'arrivée de
Karine au violon ! Vous n'arrivez pas à vous
y retrouver ? Ce n'est pas bien grave, ce qui importe
le plus c'est que toute cette jolie équipe
soit techniquement au point !
Mauvaise
surprise, le son est vraiment faiblard ! Bon, on
met la sauce et on recommence … Ca va mieux
avec les potards à 10 et on attaque avec
" X-72 part. 1 ", un instrumental de deux minutes
à base de rythmes tribaux ! Grand Sachem
allumer calumet avant envoyer purée …
Chose logique, " X-72 part. 2 " nous arrive, entamant
une transition vers des gros riffs et des grosses
voix très influencées par Metallica.
Par moments, on croirait vraiment que l'ami Hetfield
est passé par-là pour poser sa griffe
… On passe à la vitesse supérieure
avec le très speedé " Laconi " qui
ravira les amateurs du genre. Seul petit reproche
concernant le chant en anglais qui est vraiment
à revoir sur ce coup-là … "
The feeling of clouds ", ballade metal à
fort potentiel, nous permet de calmer un peu le
jeu. La suite est originale : la reprise de " Vivre
ou survivre " de Balavoine à la sauce Machina
Deus Ex. On ne peut pas parler d'inédit car
Fou, groupe helvétique ayant ouvert pour
Trust sur quelques dates en 1997 avait déjà
fait cette cover en version dynamitée mais
on ne peut que se réjouir du résultat
qui est très concluant ! On termine par "
3061 ", un instrumental technoïde qui dénote
pas mal avec le reste ! Mais bon, on ne va pas reprocher
aux groupes de tenter des innovations … Bon
groupe, à revoir avec un vrai album et surtout,
mais alors surtout avec une production et un mixage
à la hauteur de son talent !"
Acteurs
de l'ombre Ce
groupe de la région des Yvelines est né
en 1996, et évolue dans un style ouvert et
assez original, puisqu'ils ont pour influences Metallica,
Sup ou Paradise Lost, mais s'en 'prennent' également
au regretté Daniel Balavoine, dans un remix
du titre ' vivre ou survivre' qui me fait penser
un peu à un générique d'un
dessin animé, style Goldorak& .mais on
se laisse aller, et finalement, l'essai est plutôt
amusant . Batterie électronique, guitares
assez stridentes (trop ?), voix claire ou dark entrecoupée
d'une très belle voix féminine, le
tout est relativement sombre, avec des ambiances
mi-machines, mi-atmosphériques. La production
est assez moyenne, cela étant sûrement
dû à l'enregistrement de cette démo
avec un home studio& Néanmoins, nous
pouvons percevoir un esprit de grande créativité
et d'une originalité indéniable, des
compos très intéressantes, il faudra
alors patienter jusqu'à l'album pour se rendre
compte de tout leur potentiel.
Balkanik
Au
design, on croirait être tombé sur
de l'indus, impression d'ailleurs confirmée
par le premier titre. Mais on s'aperçoit
vite qu'on fait fausse route. Machina Deus Ex
pratique en fait un métal très aventureux,
quelque part entre le thrash de Testament et Tiamat.
Des rythmiques bétonnées et des
arrangements très travaillés assurent
donc l'intérêt de cette démo
pleine de promesses pour le futur, et qui place
Machina Deus Ex dans le peloton des formations
à suivre. Mais il faudrait vraiment en
mettre un coup sur le chant (l'accent surtout),
même si leur chanteur a au moins le grand
mérite d'être plus ambitieux que
la moyenne. Un groupe qui fait, quoi qu'il en
soit, montre d'une personnalité déjà
impressionnante pour une deuxième démo.
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